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Membre inscrit Martien-071

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Bonjour Terrien !
Si lorsque vous composez un numéro vous entendez des impulsions et non la douce petite musique des deux fréquences superposées du système DTMF, votre téléphone est à impulsions (ancien système de numérotation) et n'est pas adapté à la box.
Il y aurait peut-être possibilité d'utiliser ce joli appareil en intercalant un convertisseur impulsions=>DTMF.
Cordialement.
Martien-071
Si lorsque vous composez un numéro vous entendez des impulsions et non la douce petite musique des deux fréquences superposées du système DTMF, votre téléphone est à impulsions (ancien système de numérotation) et n'est pas adapté à la box.
Il y aurait peut-être possibilité d'utiliser ce joli appareil en intercalant un convertisseur impulsions=>DTMF.
Cordialement.
Martien-071
07 février 2021 à 23:03

Bonjour Terrien Thierry !
Je ne critiquais absolument pas votre installation !
C'est suite aux nombreuses demandes de connexions de thermostat (simple contact tout ou rien) à des systèmes de chauffage possédant une régulation que je posais ma question.
S'il y a une sonde qui "surveille" (en la mesurant) la température ambiante et donc que la régulation tient en compte la différence entre la température mesurée et la température de consigne pour adapter la température de l'eau de chauffage il s'agit d'une vraie régulation.
Viessman a commencé avec des régulations électroniques performantes dans les années 1975-76. Des régulations qui tenaient compte de la température extérieure, de la température de départ, de la température de retour, avec des courbes de chauffe,une programmation jour par jour, une réduction de t° pour la nuit, ... et tout cela sans thermostat ! Il y a plus de 45 ans ! A l'époque Viessmann ne fabriquait/ne distribuait pas leurs brûleurs fioul, ils proposaient de se fournir chez certains fabricants.
Cordialement, Martien-071
Je ne critiquais absolument pas votre installation !
C'est suite aux nombreuses demandes de connexions de thermostat (simple contact tout ou rien) à des systèmes de chauffage possédant une régulation que je posais ma question.
S'il y a une sonde qui "surveille" (en la mesurant) la température ambiante et donc que la régulation tient en compte la différence entre la température mesurée et la température de consigne pour adapter la température de l'eau de chauffage il s'agit d'une vraie régulation.
Viessman a commencé avec des régulations électroniques performantes dans les années 1975-76. Des régulations qui tenaient compte de la température extérieure, de la température de départ, de la température de retour, avec des courbes de chauffe,une programmation jour par jour, une réduction de t° pour la nuit, ... et tout cela sans thermostat ! Il y a plus de 45 ans ! A l'époque Viessmann ne fabriquait/ne distribuait pas leurs brûleurs fioul, ils proposaient de se fournir chez certains fabricants.
Cordialement, Martien-071
07 février 2021 à 12:59

Bonjour Terrien Thierry !
Ceci n'est pas une réponse mais plutôt une grosse question que je me pose à chaque fois que je vois le mot "thermostat" ... Je ne vous jette pas la pierre Terrien Thierry ! Beaucoup d'autres posent cette question de thermostat.
J'aimerais qu'un homme de l'art m'explique.
Pourquoi vouloir mettre un thermostat (truc archaïque tout ou rien) sur des chaudières équipées de merveilles de technologie appelées régulation et ceci surtout lorsque les radiateurs sont munis de vannes thermostatiques ? Pour les planchers chauffants on convient qu'il faut des sondes d'ambiance commandant des vannes de zones.
La Ré-gu-la-tion est là pour ... réguler c'est à dire s'arranger pour que la température de l'eau de chaudière soit gardée dans les limites imposées et lorsqu'il y a une sonde extérieure d'adapter la température de l'eau de chauffage en fonction de la température extérieure (courbe de température). Plus la température extérieure baisse, plus la température d'eau de chaudière augmente.
Un thermostat ... qui agit comme un interrupteur vient simplement "foutre en l'air" la régulation !
On arrête la pompe de circulation d'eau ou pire la chaudière et quand le thermostat demande une chauffe, on remet le bazar en route, on fait circuler de l'eau refroidie ... On en revient à un système d'un autre temps et peu économique. Ah oui ... parce que pour élever la température de 1g d'eau de 1°C (typiquement de 14,5°C à 15°C) il faut 1 calorie ou ~4,18 Joules ! Quand la régulation travaille ... on régule sur la température de l'eau donc sur quelques degrés. Quand un thermostat entre en jeu la "régulation" si on peut parler ainsi agit à partir de la température de l'air et là la température de l'eau varie suivant des dizaines de degrés !
Le meilleur rendement pour un système thermodynamique est obtenu lorsqu'il y a le moins de variation de température dans ce système.
C'est pour cette raison aussi que l'on fabrique des brûleurs à flammes modulantes ... encore une régulation !
Ce n'était donc pas une réponse à la question mais bien une réflexion ou encore peut-être un délire martien !
Cordialement.
Martien-071
Ceci n'est pas une réponse mais plutôt une grosse question que je me pose à chaque fois que je vois le mot "thermostat" ... Je ne vous jette pas la pierre Terrien Thierry ! Beaucoup d'autres posent cette question de thermostat.
J'aimerais qu'un homme de l'art m'explique.
Pourquoi vouloir mettre un thermostat (truc archaïque tout ou rien) sur des chaudières équipées de merveilles de technologie appelées régulation et ceci surtout lorsque les radiateurs sont munis de vannes thermostatiques ? Pour les planchers chauffants on convient qu'il faut des sondes d'ambiance commandant des vannes de zones.
La Ré-gu-la-tion est là pour ... réguler c'est à dire s'arranger pour que la température de l'eau de chaudière soit gardée dans les limites imposées et lorsqu'il y a une sonde extérieure d'adapter la température de l'eau de chauffage en fonction de la température extérieure (courbe de température). Plus la température extérieure baisse, plus la température d'eau de chaudière augmente.
Un thermostat ... qui agit comme un interrupteur vient simplement "foutre en l'air" la régulation !
On arrête la pompe de circulation d'eau ou pire la chaudière et quand le thermostat demande une chauffe, on remet le bazar en route, on fait circuler de l'eau refroidie ... On en revient à un système d'un autre temps et peu économique. Ah oui ... parce que pour élever la température de 1g d'eau de 1°C (typiquement de 14,5°C à 15°C) il faut 1 calorie ou ~4,18 Joules ! Quand la régulation travaille ... on régule sur la température de l'eau donc sur quelques degrés. Quand un thermostat entre en jeu la "régulation" si on peut parler ainsi agit à partir de la température de l'air et là la température de l'eau varie suivant des dizaines de degrés !
Le meilleur rendement pour un système thermodynamique est obtenu lorsqu'il y a le moins de variation de température dans ce système.
C'est pour cette raison aussi que l'on fabrique des brûleurs à flammes modulantes ... encore une régulation !
Ce n'était donc pas une réponse à la question mais bien une réflexion ou encore peut-être un délire martien !

Cordialement.
Martien-071
06 février 2021 à 21:47

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Ci-joint l'organigramme de résolution de la panne AL F0 extraite du manuel de maintenance à l'usage du chauffagiste.
Sans doute plus efficace que de remplacer des pièces à l'aveuglette jusqu'à une éventuelle solution.
Cordialement, Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Ci-joint l'organigramme de résolution de la panne AL F0 extraite du manuel de maintenance à l'usage du chauffagiste.
Sans doute plus efficace que de remplacer des pièces à l'aveuglette jusqu'à une éventuelle solution.
Cordialement, Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

05 février 2021 à 02:40

Bonjour Terrien !
Juste une idée en passant ...
Il y a un petit filtre sur le tuyau d'arrivée d'eau, si celui-ci est bouché ... pas d'eau !
Avant de penser à une panne de la machine, avez-vous regardé ce filtre ?
Pour l'atteindre, il faut déconnecter le tuyau du robinet ou de la vanne (pensez à le/la fermer avant), il se trouve à l'embouchure du tuyau.
Cordialement,
Martien-071
Juste une idée en passant ...
Il y a un petit filtre sur le tuyau d'arrivée d'eau, si celui-ci est bouché ... pas d'eau !
Avant de penser à une panne de la machine, avez-vous regardé ce filtre ?
Pour l'atteindre, il faut déconnecter le tuyau du robinet ou de la vanne (pensez à le/la fermer avant), il se trouve à l'embouchure du tuyau.
Cordialement,
Martien-071
04 février 2021 à 19:51

Bonjour les Terriens !
Je possède un four du même genre ...
Je l'ai acquis d'occasion mais à l'état NEUF ! Jamais servi ... et pour cause !
Mon expérience personnelle et mes bêtises :
La puissance de mon four est de 1200 W (c'est ce qui est écrit sur une plaque métallique en blanc sur fond rouge). Belle fiche à 2 broches + terre.
Confiant, j'ai branché le bidule (oui, je sais ... il fallait sans doute vérifier toutes sortes de choses avant...
).
Il a chauffé sans problème ... enfin pour la chauffe
je n'ai pas pu testé jusqu'au bout.
Durant la chauffe, il n'y a pas que le four qui a chauffé : le câble a commencé à se ramollir et à devenir ... très chaud
=> on arrête tout et ... on plonge dans le mode d'emploi. Ah oui bien sûr il n'y en a pas.
=> Je réfléchis ... 1200W 230V ... résistance ... 1200/230 = 5,2A ... ça doit passer par le câble sans tout faire fondre. Ça fonctionne pour le grille-pain, pour la machine à café, la bouilloire électrique...
Réflexe technique ... un petit coup d'ohmmètre sur les bornes et ...
11 Ohms !
Soit presque 4810 W !
Le four était câblé en 110V ! et pas d'indication de tension sur l'appareil juste les 1200W !
Ça m'apprendra à faire confiance ... à me baser sur une simple fiche et à brancher sans vérifier !
J'ai modifié le câblage des résistances au nombre de 2 et qui ont la même résistance, Ouf !
Les bornes pour le faire étaient présentes.
Du montage parallèle je suis passé au montage série. De 11 Ohms, je suis passé à 44 Ohms
ça change !
Plus de problème, tout fonctionne. En 2h le four atteint ses 1100°C (le max est à 1200).
J'y ai adjoint un module de régulation avec températures, pentes et paliers programmables.
C'est un bijou !
Fin des délires de martiens.
Pour le four de cette question :
Il semble qu'il y ait une plaque signalétique (ce que le mien n'a pas ou plus), que dit-elle ?
Vérifier la résistance (valeur ohmique) cela peut donner une idée ...
Pour l'interrupteur, s'il est nécessaire et compatible avec la puissance du four... peut-être s'orienter vers une fiche avec interrupteur intégré.
https://www.conrad.fr/p/fiche-coudee-a-contact-de-protection-as-schwabe-45035-45035-avec-interrupteur-230-v-blanc-ip20-1-pcs-1857919
Avec un voyant ce serait encore mieux :
https://www.conrad.fr/p/fiche-électrique-male-avec-terre-as-schwabe-45034-45034-avec-interrupteur-230-v-blanc-ip20-1-pcs-1857496
Cordialement.
Martien-071
Je possède un four du même genre ...
Je l'ai acquis d'occasion mais à l'état NEUF ! Jamais servi ... et pour cause !

Mon expérience personnelle et mes bêtises :
La puissance de mon four est de 1200 W (c'est ce qui est écrit sur une plaque métallique en blanc sur fond rouge). Belle fiche à 2 broches + terre.
Confiant, j'ai branché le bidule (oui, je sais ... il fallait sans doute vérifier toutes sortes de choses avant...

Il a chauffé sans problème ... enfin pour la chauffe


Durant la chauffe, il n'y a pas que le four qui a chauffé : le câble a commencé à se ramollir et à devenir ... très chaud


=> Je réfléchis ... 1200W 230V ... résistance ... 1200/230 = 5,2A ... ça doit passer par le câble sans tout faire fondre. Ça fonctionne pour le grille-pain, pour la machine à café, la bouilloire électrique...
Réflexe technique ... un petit coup d'ohmmètre sur les bornes et ...


Soit presque 4810 W !

Le four était câblé en 110V ! et pas d'indication de tension sur l'appareil juste les 1200W !
Ça m'apprendra à faire confiance ... à me baser sur une simple fiche et à brancher sans vérifier !

J'ai modifié le câblage des résistances au nombre de 2 et qui ont la même résistance, Ouf !
Les bornes pour le faire étaient présentes.
Du montage parallèle je suis passé au montage série. De 11 Ohms, je suis passé à 44 Ohms

Plus de problème, tout fonctionne. En 2h le four atteint ses 1100°C (le max est à 1200).
J'y ai adjoint un module de régulation avec températures, pentes et paliers programmables.
C'est un bijou !
Fin des délires de martiens.
Pour le four de cette question :
Il semble qu'il y ait une plaque signalétique (ce que le mien n'a pas ou plus), que dit-elle ?
Vérifier la résistance (valeur ohmique) cela peut donner une idée ...
Pour l'interrupteur, s'il est nécessaire et compatible avec la puissance du four... peut-être s'orienter vers une fiche avec interrupteur intégré.
https://www.conrad.fr/p/fiche-coudee-a-contact-de-protection-as-schwabe-45035-45035-avec-interrupteur-230-v-blanc-ip20-1-pcs-1857919
Avec un voyant ce serait encore mieux :
https://www.conrad.fr/p/fiche-électrique-male-avec-terre-as-schwabe-45034-45034-avec-interrupteur-230-v-blanc-ip20-1-pcs-1857496
Cordialement.
Martien-071
04 février 2021 à 15:01

Bonjour Terrien Thierry !
Il s'agit bien de 2 va-et-vient (2 système 2 directions pilotant 2 éclairages différents).
En me basant sur le câblage de l'interrupteur d'origine :
- Un des 2 rouges est l'arrivée de la phase, l'autre un piquage pour une autre utilisation vraisemblablement.
- Les oranges sont les 2 navettes sont les navettes d'un des 2 systèmes 2 directions,
- Les gris sont les navettes de l'autre système 2 directions.
Et... malheureusement pour vous il n'y a pas de neutre disponible ici.
Afin d'illustrer ce que je pense être la situation d'origine, je joins le schéma de la réponse1 de CMT à la question n° 20606 de ce même forum.
Sur ce schéma, les fils violets seraient les oranges pour un système et les gris pour l'autre les fils oranges eux seraient certainement d'une autre couleur ... retour lampes dans le 2ème groupe d'interrupteur.
Cordialement,
Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Il s'agit bien de 2 va-et-vient (2 système 2 directions pilotant 2 éclairages différents).
En me basant sur le câblage de l'interrupteur d'origine :
- Un des 2 rouges est l'arrivée de la phase, l'autre un piquage pour une autre utilisation vraisemblablement.
- Les oranges sont les 2 navettes sont les navettes d'un des 2 systèmes 2 directions,
- Les gris sont les navettes de l'autre système 2 directions.
Et... malheureusement pour vous il n'y a pas de neutre disponible ici.
Afin d'illustrer ce que je pense être la situation d'origine, je joins le schéma de la réponse1 de CMT à la question n° 20606 de ce même forum.
Sur ce schéma, les fils violets seraient les oranges pour un système et les gris pour l'autre les fils oranges eux seraient certainement d'une autre couleur ... retour lampes dans le 2ème groupe d'interrupteur.
Cordialement,
Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

03 février 2021 à 22:50

Bonjour les Terriens !
Merci Mario (VETC) pour la réponse.
Juste un document de Danfoss expliquant les gicleurs retrouvé dans mes archives pour information.
Cordialement.
Martien-071
chaudiere mazout gicleurs.pdf
Merci Mario (VETC) pour la réponse.
Juste un document de Danfoss expliquant les gicleurs retrouvé dans mes archives pour information.
Cordialement.
Martien-071
chaudiere mazout gicleurs.pdf
01 février 2021 à 17:20

Bonjour Terrien !
Une petite photo aurait permis de bien voir le modèle.
Les documents joints peuvent peut-être vous aider. Il semble que les boutons soient clipsés.
Cordialement.
Martien-071
16 hrgh1860 pdf.pdf
16 hrgh0902 pdf.pdf
Une petite photo aurait permis de bien voir le modèle.
Les documents joints peuvent peut-être vous aider. Il semble que les boutons soient clipsés.
Cordialement.
Martien-071
16 hrgh1860 pdf.pdf
16 hrgh0902 pdf.pdf
01 février 2021 à 13:46

Bonjour Terrien !
Encore une hypothèse ...
L'électrovanne de fioul qui ferme mal ...
Lorsque le brûleur s'arrête, le moteur électrique n'est plus alimenté, l'électrovanne non plus et celle-ci devrait se refermer. L'inertie de la turbine fait que la pompe fait encore quelques tours après la coupure de courant.
Si l'électrovanne ne ferme pas bien il est possible que du fioul continue à sortir avec peu de pression pendant quelques instants. Comme il n'y a pas d'air en suffisance (turbine en arrêt) la combustion n'est pas bonne => suies noires et grasses. (L'accrochage de flamme ne devrait pas être fort propre non plus).
Il faudrait observer la flamme en fonctionnement et à l'arrêt pour mieux cerner ce genre de problème.
Cordialement.
Martien-071
Encore une hypothèse ...
L'électrovanne de fioul qui ferme mal ...
Lorsque le brûleur s'arrête, le moteur électrique n'est plus alimenté, l'électrovanne non plus et celle-ci devrait se refermer. L'inertie de la turbine fait que la pompe fait encore quelques tours après la coupure de courant.
Si l'électrovanne ne ferme pas bien il est possible que du fioul continue à sortir avec peu de pression pendant quelques instants. Comme il n'y a pas d'air en suffisance (turbine en arrêt) la combustion n'est pas bonne => suies noires et grasses. (L'accrochage de flamme ne devrait pas être fort propre non plus).
Il faudrait observer la flamme en fonctionnement et à l'arrêt pour mieux cerner ce genre de problème.
Cordialement.
Martien-071
01 février 2021 à 00:32

Bonjour Terrien !
En attendant l'avis de spécialistes ...
J'ai trouvé que cela pouvait provenir d'une sonde de température CTN ou d'un varistor situé sur la carte de puissance de l'appareil.
Le dépannage et la réparation seraient donc des opérations pour un bricoleur très averti au niveau électronique/travail sur les cartes ou pour un technicien-électronicien.
Cordialement.
Martien-071
En attendant l'avis de spécialistes ...
J'ai trouvé que cela pouvait provenir d'une sonde de température CTN ou d'un varistor situé sur la carte de puissance de l'appareil.
Le dépannage et la réparation seraient donc des opérations pour un bricoleur très averti au niveau électronique/travail sur les cartes ou pour un technicien-électronicien.
Cordialement.
Martien-071
31 janvier 2021 à 23:36

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Les conseils d'un spécialiste seront certainement plus judicieux !
Quelque pistes ...
Si vous avez une suie noire, grasse avec du fioul imbrûlé c'est qu'il y a mauvaise combustion.
Mauvaise combustion => trop de combustible par rapport au comburant (air) ou autrement dit pas assez de comburant (air) par rapport à la quantité de combustible.
Lors de votre entretien, avez-vous jeté un coup d’œil et de propre à la turbine d'alimentation en air ?
Il se peut qu'elle soit garnie de "plumes", de "minous", de poussière et que donc elle n'a pas son rendement maximal.
Le conduit d'évacuation des fumées ( cheminée ) a-t'il bien été ramoné ?
Le système d'accrochage de flamme est-il propre ?
Si le brûleur fonctionne et qu'il y a du fioul imbrûlé dans le foyer signifierait qu'il y a du fioul qui arrive alors qu'il n'y a plus de flamme.
Perte de flamme en fonctionnement => mauvais réglage ? air dans le fioul ? pompe défectueuse ?
Avez-vous constaté un bruit différent en fonctionnement ? (sifflement, à-coup, boom-boom, ...)
Avez-vous constaté des pertes de flammes ?
Avez-vous regardé la flamme en fonctionnement ?
(Comme il s'agit d'un ancien brûleur, c'est un brûleur à flamme jaune.)
Vous devriez observer une belle flamme vive orange clair/jaune sans fumée.
Voir les illustrations.
Auriez-vous changé de fournisseur de fioul ou de qualité ? Il y a eu des changements ( CE ) notamment au niveau de la quantité de soufre.
Le gicleur était peut-être usé/défectueux ... Dans ce cas avec votre entretien il se pourrait que le problème soit résolu. Il faudrait jeter un coup d’œil après quelques temps de fonctionnement.
La pression de la pompe aurait augmenté ?
Le choix de la pression de la pompe et le calibre du gicleur sont déterminé par la puissance désirée, ensuite on adapte le réglage d'air pour obtenir la meilleure combustion.
Les réglages que vous mentionnez sont les réglages de base pour ce brûleur, un homme de l'art devrait les affiner pour obtenir les meilleurs résultats. Les réglages varient suivant plusieurs paramètres dont l'altitude ( taux d'oxygène ).
Je joins manuel d'installation du brûleur à ce message.
Cordialement.
Martien-071
Pour agrandir les images, cliquez dessus.



b10 fu.pdf
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Les conseils d'un spécialiste seront certainement plus judicieux !
Quelque pistes ...
Si vous avez une suie noire, grasse avec du fioul imbrûlé c'est qu'il y a mauvaise combustion.
Mauvaise combustion => trop de combustible par rapport au comburant (air) ou autrement dit pas assez de comburant (air) par rapport à la quantité de combustible.
Lors de votre entretien, avez-vous jeté un coup d’œil et de propre à la turbine d'alimentation en air ?
Il se peut qu'elle soit garnie de "plumes", de "minous", de poussière et que donc elle n'a pas son rendement maximal.
Le conduit d'évacuation des fumées ( cheminée ) a-t'il bien été ramoné ?
Le système d'accrochage de flamme est-il propre ?
Si le brûleur fonctionne et qu'il y a du fioul imbrûlé dans le foyer signifierait qu'il y a du fioul qui arrive alors qu'il n'y a plus de flamme.

Perte de flamme en fonctionnement => mauvais réglage ? air dans le fioul ? pompe défectueuse ?
Avez-vous constaté un bruit différent en fonctionnement ? (sifflement, à-coup, boom-boom, ...)
Avez-vous constaté des pertes de flammes ?
Avez-vous regardé la flamme en fonctionnement ?
(Comme il s'agit d'un ancien brûleur, c'est un brûleur à flamme jaune.)
Vous devriez observer une belle flamme vive orange clair/jaune sans fumée.
Voir les illustrations.
Auriez-vous changé de fournisseur de fioul ou de qualité ? Il y a eu des changements ( CE ) notamment au niveau de la quantité de soufre.
Le gicleur était peut-être usé/défectueux ... Dans ce cas avec votre entretien il se pourrait que le problème soit résolu. Il faudrait jeter un coup d’œil après quelques temps de fonctionnement.
La pression de la pompe aurait augmenté ?
Le choix de la pression de la pompe et le calibre du gicleur sont déterminé par la puissance désirée, ensuite on adapte le réglage d'air pour obtenir la meilleure combustion.
Les réglages que vous mentionnez sont les réglages de base pour ce brûleur, un homme de l'art devrait les affiner pour obtenir les meilleurs résultats. Les réglages varient suivant plusieurs paramètres dont l'altitude ( taux d'oxygène ).
Je joins manuel d'installation du brûleur à ce message.
Cordialement.
Martien-071
Pour agrandir les images, cliquez dessus.



b10 fu.pdf
31 janvier 2021 à 21:49

Bonjour Terrien Harry !
Comme pour tout appareil à connecter à un réseau il lui faut :
- une adresse IP (ici vous l'avez fixée, elle ne sera donc pas attribuée par la passerelle),
- une passerelle (un endroit où se connecter)
- un masque de sous-réseau (régit le nombre de connexion).
Il me semble que vous devez introduire le masque de réseau de forme : 255.X.X.X et l'adresse IP de la passerelle.
Puisque vous utilisez une adresse 192.168.1.62, je suppose que la passerelle a pour adresse 192.169.1.1. Le masque de sous-réseau devrait être 255.255.255.0
Cordialement, Martien-071
Comme pour tout appareil à connecter à un réseau il lui faut :
- une adresse IP (ici vous l'avez fixée, elle ne sera donc pas attribuée par la passerelle),
- une passerelle (un endroit où se connecter)
- un masque de sous-réseau (régit le nombre de connexion).
Il me semble que vous devez introduire le masque de réseau de forme : 255.X.X.X et l'adresse IP de la passerelle.
Puisque vous utilisez une adresse 192.168.1.62, je suppose que la passerelle a pour adresse 192.169.1.1. Le masque de sous-réseau devrait être 255.255.255.0
Cordialement, Martien-071
31 janvier 2021 à 15:17

Bonjour Terrien !
Je ne suis toujours pas spécialiste en chauffage.
Nulle intention de vous choquer ... mais la sécurité, c'est important !
Désolé d'insister mais j'ai vu tellement de situations catastrophiques et malheureuses ...
C'est cette portion de votre message :
Si vous doutez de l'alimentation 24V et particulièrement du transfo, il doit être possible de mesurer la tension ou plus visuel de placer une lampe témoin ... un voyant Led 24V AC (qui a la particularité de ne pas consommer beaucoup) par exemple entre les bornes R (du thermostat) et B2 selon le schéma accessible à plusieurs endroits : platine avec transfo ou "bornier sur le bloc chaudière". Ainsi placé ce voyant devrait rester éclairé en permanence, signalant la présence de 24V AC.
Si vous ne l'avez pas encore fait, vérifiez aussi les connexions, une vis mal serrée ... une cosse lâche ... un peu de corrosion ... Vérifiez aussi les connexions du fusible.
Cordialement, Martien-071
Je ne suis toujours pas spécialiste en chauffage.
Nulle intention de vous choquer ... mais la sécurité, c'est important !
Désolé d'insister mais j'ai vu tellement de situations catastrophiques et malheureuses ...
C'est cette portion de votre message :
Citation :Qui m'a fait penser que la chaudière a fonctionné sans limiteur pendant plusieurs jours.
Après investigation, j'ai remarqué que j'avais sans doute un problème avec la sonde du limiteur de température car en la shuntant, ma chaudière était repartie pour plusieurs jours sans problème.
Cependant, depuis quelques jours, limiteur de température toujours shunté, le problème réapparaît. Elle s'arrête.

Si vous doutez de l'alimentation 24V et particulièrement du transfo, il doit être possible de mesurer la tension ou plus visuel de placer une lampe témoin ... un voyant Led 24V AC (qui a la particularité de ne pas consommer beaucoup) par exemple entre les bornes R (du thermostat) et B2 selon le schéma accessible à plusieurs endroits : platine avec transfo ou "bornier sur le bloc chaudière". Ainsi placé ce voyant devrait rester éclairé en permanence, signalant la présence de 24V AC.
Si vous ne l'avez pas encore fait, vérifiez aussi les connexions, une vis mal serrée ... une cosse lâche ... un peu de corrosion ... Vérifiez aussi les connexions du fusible.
Cordialement, Martien-071
31 janvier 2021 à 11:39

Bonjour Terrien !
Merci pour les précisions.
Je pense qu'il est possible (après avoir fermé l'eau et purgé l'eau résiduelle)
- de dévisser entièrement le petit robinet de purge
- de bien nettoyer le filet
- remonter le robinet avec de la filasse et pâte et ne pas le serrer à fond de façon à orienter le trou de vidange vers le bas.
Cordialement, Martien-071
Merci pour les précisions.
Je pense qu'il est possible (après avoir fermé l'eau et purgé l'eau résiduelle)
- de dévisser entièrement le petit robinet de purge
- de bien nettoyer le filet
- remonter le robinet avec de la filasse et pâte et ne pas le serrer à fond de façon à orienter le trou de vidange vers le bas.
Cordialement, Martien-071
31 janvier 2021 à 02:09

Bonjour Terrien !
Afin de mieux comprendre pourriez-vous préciser où se trouve le haut ou le bas de votre photo ?
Cordialement,
Martien-071
Afin de mieux comprendre pourriez-vous préciser où se trouve le haut ou le bas de votre photo ?
Cordialement,
Martien-071
30 janvier 2021 à 20:19

Bonjour les terriens,
Je ne fais que passer et dépose mon petit délire.
Sur les broyeurs à rotor/rouleaux et à turbine comme ceux de marque Florabest outre les systèmes de sécurité il y a un commutateur à 3 positions : "Marche AV" (broyage) "0" (arrêt) et "Marche arrière" (déblocage).
Ces broyeurs sont équipés d'un moteur série "universel" (stator bobiné, rotor bobiné, collecteur et balais) dont les 4 bornes sont accessibles.
L'inversion de sens se fait en permutant les connexions du rotor ou stator et en position "marche arrière" vient se mettre en série un petit module électronique (un gradateur en fait) qui diminue la vitesse.
En fait en marche AV on court-circuite le gradateur (par le commutateur).
Puisque la "marche arrière" ne fonctionne plus, il est possible que le triac utilisé dans le module de réduction de vitesse soit HS.
MAIS :
Ici la référence donnée se rapporte à un broyeur à lame circulaire ... donc ni à rouleaux, ni à turbine.
Pourquoi alors une "marche arrière" ?
L'hypothèse du moteur asynchrone à un seul sens de rotation est tout à fait correcte et donc tout ce que j'ai raconté plus haut n'a plus de sens.
Cordialement, Martien-071
Je ne fais que passer et dépose mon petit délire.

Sur les broyeurs à rotor/rouleaux et à turbine comme ceux de marque Florabest outre les systèmes de sécurité il y a un commutateur à 3 positions : "Marche AV" (broyage) "0" (arrêt) et "Marche arrière" (déblocage).
Ces broyeurs sont équipés d'un moteur série "universel" (stator bobiné, rotor bobiné, collecteur et balais) dont les 4 bornes sont accessibles.
L'inversion de sens se fait en permutant les connexions du rotor ou stator et en position "marche arrière" vient se mettre en série un petit module électronique (un gradateur en fait) qui diminue la vitesse.
En fait en marche AV on court-circuite le gradateur (par le commutateur).
Puisque la "marche arrière" ne fonctionne plus, il est possible que le triac utilisé dans le module de réduction de vitesse soit HS.
MAIS :
Ici la référence donnée se rapporte à un broyeur à lame circulaire ... donc ni à rouleaux, ni à turbine.
Pourquoi alors une "marche arrière" ?
L'hypothèse du moteur asynchrone à un seul sens de rotation est tout à fait correcte et donc tout ce que j'ai raconté plus haut n'a plus de sens.
Cordialement, Martien-071
30 janvier 2021 à 16:06

Bonjour Terrien !
Pas de bonne nouvelle ...
Sur le système que vous avez il n'y a apparemment pas possibilité de placer un bouton pour commander la gâche.
Le système est certainement prévu pour une gâche de porte avec poignée à l'intérieur => on actionne la poignée sans utiliser la gâche.
Peut-être le fabricant a t'il prévu un module simplifié "bouton poussoir" à brancher entre la platine de rue et l'interphone intérieur ?
Rappel : pour des raisons évidentes de sécurité, il est nécessaire de prévoir un système pour sortir sans utiliser la gâche ( panne de courant par exemple ). S'il n'y a pas de commande d'ouverture mécanique de la porte ( poignée, ... ) en cas de panne de courant, il faut que la gâche se libère.
Il existe 2 types de gâches : négatives et positives. La négative impose la mise sous tension de celle-ci pour déverrouiller la porte, la positive nécessite une tension pour verrouiller la porte => en cas de panne de courant la porte est déverrouillée.
Si l'on est en présence d'une gâche "positive", en théorie c'est plus simple, il suffit de placer un contact NF* en série avec la gâche. Il faudrait que le bouton se trouve à proximité directe de la porte car il faudra appuyer sur le bouton et manipuler la porte simultanément ...
Sinon il faudrait placer une temporisation pour garder la gâche ouverte pendant quelques secondes.
* un bouton poussoir NF
Si l'on est en présence d'une gâche "négative" c'est à dire que l'application d'une tension aux bornes de la gâche commande l'ouverture.
Il existerait bien une solution pour commander la gâche par un bouton poussoir, mais ceci exigerait de placer une alimentation 220V/12VCC 800mA à proximité du bouton pour commander la gâche et d'utiliser un bouton inverseur (comportant NO/NF) voire double inverseur pour commuter l'alimentation.
A nouveau le bouton devrait être placé très près de la porte puisque là aussi il faudrait pousser dessus et manipuler la porte simultanément.
Placer une petite temporisation résoudrait le problème.
Cordialement, Martien-071
Pas de bonne nouvelle ...
Sur le système que vous avez il n'y a apparemment pas possibilité de placer un bouton pour commander la gâche.
Le système est certainement prévu pour une gâche de porte avec poignée à l'intérieur => on actionne la poignée sans utiliser la gâche.
Peut-être le fabricant a t'il prévu un module simplifié "bouton poussoir" à brancher entre la platine de rue et l'interphone intérieur ?
Rappel : pour des raisons évidentes de sécurité, il est nécessaire de prévoir un système pour sortir sans utiliser la gâche ( panne de courant par exemple ). S'il n'y a pas de commande d'ouverture mécanique de la porte ( poignée, ... ) en cas de panne de courant, il faut que la gâche se libère.
Il existe 2 types de gâches : négatives et positives. La négative impose la mise sous tension de celle-ci pour déverrouiller la porte, la positive nécessite une tension pour verrouiller la porte => en cas de panne de courant la porte est déverrouillée.
Si l'on est en présence d'une gâche "positive", en théorie c'est plus simple, il suffit de placer un contact NF* en série avec la gâche. Il faudrait que le bouton se trouve à proximité directe de la porte car il faudra appuyer sur le bouton et manipuler la porte simultanément ...

* un bouton poussoir NF
Si l'on est en présence d'une gâche "négative" c'est à dire que l'application d'une tension aux bornes de la gâche commande l'ouverture.
Il existerait bien une solution pour commander la gâche par un bouton poussoir, mais ceci exigerait de placer une alimentation 220V/12VCC 800mA à proximité du bouton pour commander la gâche et d'utiliser un bouton inverseur (comportant NO/NF) voire double inverseur pour commuter l'alimentation.
A nouveau le bouton devrait être placé très près de la porte puisque là aussi il faudrait pousser dessus et manipuler la porte simultanément.

Cordialement, Martien-071
30 janvier 2021 à 15:37

Bonjour Terrien !
Pour le savoir ... il suffit d'essayer !
Composez rapidement un numéro sur le clavier, si vous entendez rapidement la tonalité de sonnerie le téléphone est en DTMF.
Bien souvent en composant le numéro s'il s'agit du DTMF on entend la petite musique des touches (2 fréquences audibles superposées), s'il s'agit du système à impulsions on les entend aussi.
Cordialement, Martien-071
Pour le savoir ... il suffit d'essayer !
Composez rapidement un numéro sur le clavier, si vous entendez rapidement la tonalité de sonnerie le téléphone est en DTMF.
Bien souvent en composant le numéro s'il s'agit du DTMF on entend la petite musique des touches (2 fréquences audibles superposées), s'il s'agit du système à impulsions on les entend aussi.
Cordialement, Martien-071
30 janvier 2021 à 12:34

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Une réflexion :
Est-il judicieux d'utiliser un tracteur de 700CV (Quadrac 620) pour tirer une misérable remorque (Norauto P1200) de 65Kg ?
Certes cela fonctionnera mais la consommation de l'engin fera regretter l'opération.
La puissance de votre système de chauffage et notamment celle de la chaudière a été calculée pour l'ensemble entier.
Cela n'a pas de sens de ne charger la chaudière que d'un seul radiateur.
Elle ne fonctionnera pas dans la zone de fonctionnement définie au départ et n'aura pas non plus le même rendement.
Tant que le propane est cher, je pense qu'il vaut mieux choisir un autre système de chauffage, peut-être électrique.
Attendons l'avis d'un homme de l'art, ici il ne s'agit que de délires de martiens.
Cordialement, Martien-071
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Une réflexion :
Est-il judicieux d'utiliser un tracteur de 700CV (Quadrac 620) pour tirer une misérable remorque (Norauto P1200) de 65Kg ?
Certes cela fonctionnera mais la consommation de l'engin fera regretter l'opération.
La puissance de votre système de chauffage et notamment celle de la chaudière a été calculée pour l'ensemble entier.
Cela n'a pas de sens de ne charger la chaudière que d'un seul radiateur.
Elle ne fonctionnera pas dans la zone de fonctionnement définie au départ et n'aura pas non plus le même rendement.
Tant que le propane est cher, je pense qu'il vaut mieux choisir un autre système de chauffage, peut-être électrique.
Attendons l'avis d'un homme de l'art, ici il ne s'agit que de délires de martiens.
Cordialement, Martien-071
30 janvier 2021 à 12:26

Bonjour les Terriens !
J'ai la critique facile, s'il vous plaît ne m'en veuillez pas !
Le montage est peu soigné et est à revoir, c'est certain; il faut s'entraîner.
L'isolant du fil bleu du câble du haut a été endommagé sans doute par un coup de lame. (1 sur la photo jointe )
Comme l'a souligné GL les fils ont été dénudés trop long.
Le cuivre n'a pas été étamé avant la brasure.
Le cuivre des fils bruns et bleus du câble du bas est très proche. Cela pourrait donner un court-circuit. (2 sur la photo jointe).
La recette :
Dénuder soigneusement les câbles et fils sans endommager l'isolant du dessous (pour les câbles).
Dénuder les fils d'une longueur légèrement plus petite que la cosse sur laquelle on vaut le braser.
Étamer le cuivre dénudé. Étamer les cosses ou celui-ci sera brasé.
Puis assembler le tout en chauffant bien et en ajoutant un peu d'étain.
Personnellement ( électronicien de formation ) je préfère placer les câbles dans l'axe des connecteurs/cosses (quand il n'y a pas d'orifice pour placer le fil et j'aime beaucoup glisser un morceau de gaine thermorétractable sur les fils pour recouvrir la "soudure" et la cosse. Cela évite des contacts inopportuns et c'est plus propre.
L'interrupteur à voyant de cette question :
Comme l'a dit GL plus haut il faudrait des informations sur cet interrupteur ou au moins sur le voyant.
S'agit-il d'un voyant 230V ou de plus basse tension ? Cela existe ! Et ici j'ai même très peur qu'il s'agisse d'un voyant LED 3V
https://www.reichelt.com/fr/fr/interrupteur-levier-rond-1-x-on-off-partiellement-lumineux-ws-r13-112-lplb-p105449.html
Les 2 cosses larges sont les contacts de l'interrupteur ( unipolaire ).
Les 2 plus petites et plus rapprochées sont les bornes du voyant LED en 3 Volts.

Selon la photo, le voyant serait en série avec la lampe...
Si le montage est alimenté en 230V, ce serait une chance extraordinaire que la LED puisse survivre car elle n'aurait que 3V à ses bornes pour une alternance ! Pour l'autre alternance ce serait une autre chanson ... 230V ou quasiment de tension inverse ... Costaude la LED !
Ci-joint le pdf avec les caractéristiques de l'interrupteur (bas de la page 2).
Cordialement, Martien-071
R13 Round Rocker Switches10A250Vac
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

J'ai la critique facile, s'il vous plaît ne m'en veuillez pas !
Le montage est peu soigné et est à revoir, c'est certain; il faut s'entraîner.
L'isolant du fil bleu du câble du haut a été endommagé sans doute par un coup de lame. (1 sur la photo jointe )
Comme l'a souligné GL les fils ont été dénudés trop long.
Le cuivre n'a pas été étamé avant la brasure.
Le cuivre des fils bruns et bleus du câble du bas est très proche. Cela pourrait donner un court-circuit. (2 sur la photo jointe).
La recette :
Dénuder soigneusement les câbles et fils sans endommager l'isolant du dessous (pour les câbles).
Dénuder les fils d'une longueur légèrement plus petite que la cosse sur laquelle on vaut le braser.
Étamer le cuivre dénudé. Étamer les cosses ou celui-ci sera brasé.
Puis assembler le tout en chauffant bien et en ajoutant un peu d'étain.
Personnellement ( électronicien de formation ) je préfère placer les câbles dans l'axe des connecteurs/cosses (quand il n'y a pas d'orifice pour placer le fil et j'aime beaucoup glisser un morceau de gaine thermorétractable sur les fils pour recouvrir la "soudure" et la cosse. Cela évite des contacts inopportuns et c'est plus propre.
L'interrupteur à voyant de cette question :
Comme l'a dit GL plus haut il faudrait des informations sur cet interrupteur ou au moins sur le voyant.
S'agit-il d'un voyant 230V ou de plus basse tension ? Cela existe ! Et ici j'ai même très peur qu'il s'agisse d'un voyant LED 3V

https://www.reichelt.com/fr/fr/interrupteur-levier-rond-1-x-on-off-partiellement-lumineux-ws-r13-112-lplb-p105449.html
Les 2 cosses larges sont les contacts de l'interrupteur ( unipolaire ).
Les 2 plus petites et plus rapprochées sont les bornes du voyant LED en 3 Volts.



Selon la photo, le voyant serait en série avec la lampe...

Si le montage est alimenté en 230V, ce serait une chance extraordinaire que la LED puisse survivre car elle n'aurait que 3V à ses bornes pour une alternance ! Pour l'autre alternance ce serait une autre chanson ... 230V ou quasiment de tension inverse ... Costaude la LED !
Ci-joint le pdf avec les caractéristiques de l'interrupteur (bas de la page 2).
Cordialement, Martien-071
R13 Round Rocker Switches10A250Vac
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30 janvier 2021 à 11:40

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Shunter ou ponter (c'est la même chose
) une sécurité n'est JAMAIS une bonne chose et peut s'avérer très dangereux !
Si lors de recherche de panne ou pour un essai de quelques minutes il est possible de ponter une sécurité, il ne faut jamais laisser la situation dans cet état.
On ne shunte ou ponte JAMAIS une sécurité !
Parfois il faut choisir entre avoir un peu froid, mettre un bon pull, se laver à l'eau froide et éviter l'incendie de son logis et selon le cas celui des autres aussi.
Lors d'un sinistre, une sécurité pontée = Gros problèmes ! Pas d'intervention des assurances ... poursuites ... Bref un cortège de choses qu'on préfèrerait éviter.
LIMITEUR ne signifie pas thermostat ou sonde de température mais S-E-C-U-R-I-T-E ( de surchauffe ).
Ce limiteur était-il vraiment défectueux ou remplissait-il tout simplement son rôle ?
C'était la première chose à vérifier. Vérifier si la surchauffe était réelle ou pas.
Vérifier que la chaudière est propre.
Vérifier que l'évacuation des fumées se fait correctement.
De quand date le dernier entretien ?
D'après les schéma joints (modèle 120V US/CA mais il ne devrait pas y avoir beaucoup de différences au niveau du principe) il y a un clapet d'obturation des fumées ... fonctionne-t'il correctement car s'il n'y a pas évacuation des fumées il y a risque d'intoxication CO/CO2 et surchauffe.
Chaudière Buderus schémas
Cordialement.
Martien-071
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Shunter ou ponter (c'est la même chose

Si lors de recherche de panne ou pour un essai de quelques minutes il est possible de ponter une sécurité, il ne faut jamais laisser la situation dans cet état.
On ne shunte ou ponte JAMAIS une sécurité !
Parfois il faut choisir entre avoir un peu froid, mettre un bon pull, se laver à l'eau froide et éviter l'incendie de son logis et selon le cas celui des autres aussi.
Lors d'un sinistre, une sécurité pontée = Gros problèmes ! Pas d'intervention des assurances ... poursuites ... Bref un cortège de choses qu'on préfèrerait éviter.
LIMITEUR ne signifie pas thermostat ou sonde de température mais S-E-C-U-R-I-T-E ( de surchauffe ).
Ce limiteur était-il vraiment défectueux ou remplissait-il tout simplement son rôle ?
C'était la première chose à vérifier. Vérifier si la surchauffe était réelle ou pas.
Vérifier que la chaudière est propre.
Vérifier que l'évacuation des fumées se fait correctement.
De quand date le dernier entretien ?
D'après les schéma joints (modèle 120V US/CA mais il ne devrait pas y avoir beaucoup de différences au niveau du principe) il y a un clapet d'obturation des fumées ... fonctionne-t'il correctement car s'il n'y a pas évacuation des fumées il y a risque d'intoxication CO/CO2 et surchauffe.
Chaudière Buderus schémas
Cordialement.
Martien-071
29 janvier 2021 à 23:07

Bonjour Terrien !
Heureux que vous ayez cerné et résolu le problème !
0,5 A à la place de 0,375 A cela représente quand même une augmentation de 33,33%.
Je conseille quand même de remplacer le 0,5 A par la valeur adaptée, histoire que celui-ci puisse remplir son rôle en cas de problème et que le reste du circuit soit correctement protégé.
Cordialement.
Martien-071
Heureux que vous ayez cerné et résolu le problème !
0,5 A à la place de 0,375 A cela représente quand même une augmentation de 33,33%.
Je conseille quand même de remplacer le 0,5 A par la valeur adaptée, histoire que celui-ci puisse remplir son rôle en cas de problème et que le reste du circuit soit correctement protégé.
Cordialement.
Martien-071
29 janvier 2021 à 20:43

Bonjour Terrien !
Vous n'avez pas donné le type de motorisation de portail que vous avez (type de moteur + type du boitier de commande).
Il n'est donc pas aisé de vous guider précisément.
Première idée :
Selon vous le système de cellule semble ne pas fonctionner.
Dans quel état (intérieur) sont les cellules ? Pas d'humidité, pas d'eau ?
Dans certains boitiers d'automatisme il y a un fusible dans le circuit d'alimentation des "accessoires" comme les cellules. Peut-être est-il grillé ?
Cordialement, Martien-071
Vous n'avez pas donné le type de motorisation de portail que vous avez (type de moteur + type du boitier de commande).
Il n'est donc pas aisé de vous guider précisément.
Première idée :
Selon vous le système de cellule semble ne pas fonctionner.
Dans quel état (intérieur) sont les cellules ? Pas d'humidité, pas d'eau ?
Dans certains boitiers d'automatisme il y a un fusible dans le circuit d'alimentation des "accessoires" comme les cellules. Peut-être est-il grillé ?
Cordialement, Martien-071
29 janvier 2021 à 17:09

Bonjour Terrien Richard !
Je ne suis pas spécialiste en chauffage. Pistes à explorer ...
En parcourant une notice pour chaudière Chappée équipée d'un tableau de bord MK1 ...
Vous dites vouloir augmenter la température de chauffage à l'aide du bouton de droite ...
aie ! aie ! aie !
A droite ( droite pour les martiens et pas mal de Terriens je pense
) le bouton sert à régler la température de l'eau chaude sanitaire. C'est le bouton de gauche qui sert à régler la température d'eau de chaudière.
Je ne connais pas la machine et il est possible que lorsque la régulation avec sonde extérieure est activée, le bouton de réglage d'eau de chauffage soit inopérant. Ceci pour garder la courbe. Les températures mini et maxi seraient introduites dans les paramètres. Le bouton de réglage ne fonctionnerait qu'en mode "manuel".
A tout hasard ... le système n'est-il pas en mode "antigel' ou " vacances" si ces modes existent bien entendu ?
Cordialement, Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Je ne suis pas spécialiste en chauffage. Pistes à explorer ...
En parcourant une notice pour chaudière Chappée équipée d'un tableau de bord MK1 ...
Vous dites vouloir augmenter la température de chauffage à l'aide du bouton de droite ...
aie ! aie ! aie !
A droite ( droite pour les martiens et pas mal de Terriens je pense

Je ne connais pas la machine et il est possible que lorsque la régulation avec sonde extérieure est activée, le bouton de réglage d'eau de chauffage soit inopérant. Ceci pour garder la courbe. Les températures mini et maxi seraient introduites dans les paramètres. Le bouton de réglage ne fonctionnerait qu'en mode "manuel".
A tout hasard ... le système n'est-il pas en mode "antigel' ou " vacances" si ces modes existent bien entendu ?
Cordialement, Martien-071
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29 janvier 2021 à 11:53

Bonjour Terrien !
Ce commutateur horaire a été fabriqué par Schlumberger.
Il s'agit d'un commutateur "programmable" par plage de jours et plage horaire.
Le schéma de câblage se trouve normalement dans le capot de protection des connexions.
Ci-joint quelques images de l'engin ... avec le schéma de câblage.
Cordialement.
Martien-071
Pour agrandir les images, cliquez dessus.







Ce commutateur horaire a été fabriqué par Schlumberger.
Il s'agit d'un commutateur "programmable" par plage de jours et plage horaire.
Le schéma de câblage se trouve normalement dans le capot de protection des connexions.
Ci-joint quelques images de l'engin ... avec le schéma de câblage.
Cordialement.
Martien-071
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28 janvier 2021 à 18:48

Bonjour Terrien !
Je ne connais pas ce modèle.
J'ai envie d'imaginer qu'il est possible de retirer des couvercles sur les boutons de commande eau chaude/eau froide.
Sur la photo, je crois apercevoir un petit trou en bordure de ce que je voudrais être un couvercle ... Serait-ce pour y placer un outil pour dévisser ? ou pour déclipser ?
Derrière ces couvercles je suppose qu'il y a une vis à dévisser pour libérer les têtes.
Le bouton central est lui peut-être fixé par une vis latérale ... ou simplement glissé sur l'axe de l'inverseur.
Cordialement, Martien-071
Je ne connais pas ce modèle.
J'ai envie d'imaginer qu'il est possible de retirer des couvercles sur les boutons de commande eau chaude/eau froide.
Sur la photo, je crois apercevoir un petit trou en bordure de ce que je voudrais être un couvercle ... Serait-ce pour y placer un outil pour dévisser ? ou pour déclipser ?
Derrière ces couvercles je suppose qu'il y a une vis à dévisser pour libérer les têtes.
Le bouton central est lui peut-être fixé par une vis latérale ... ou simplement glissé sur l'axe de l'inverseur.
Cordialement, Martien-071
28 janvier 2021 à 15:08

Bonjour les Terriens !
J'ai rencontré un problème similaire ... un jour chez un ami.
Un fin de course haut ou bas (je ne m'en souviens plus) restait enclenché.
FDC enclenché porte en haut => la porte peut descendre. Arrivée en bas elle s'arrête avec le FDC bas mais comme le FDC haut est toujours enclenché, elle ne remonte plus.
Il semble que la logique de fonctionnement ne tienne pas compte des discordances possibles avec les contacts de fin de course.
S'il existe une barrière lumineuse, vérifiez que celle-ci fonctionne. En général le franchissement de la barrière bloque la fermeture de la porte et la fait remonter. (mais si les connexions du moteur ont été permutées il est possible que cela fasse le contraire.)
Cordialement, Martien-071
J'ai rencontré un problème similaire ... un jour chez un ami.
Un fin de course haut ou bas (je ne m'en souviens plus) restait enclenché.
FDC enclenché porte en haut => la porte peut descendre. Arrivée en bas elle s'arrête avec le FDC bas mais comme le FDC haut est toujours enclenché, elle ne remonte plus.
Il semble que la logique de fonctionnement ne tienne pas compte des discordances possibles avec les contacts de fin de course.
S'il existe une barrière lumineuse, vérifiez que celle-ci fonctionne. En général le franchissement de la barrière bloque la fermeture de la porte et la fait remonter. (mais si les connexions du moteur ont été permutées il est possible que cela fasse le contraire.)
Cordialement, Martien-071
28 janvier 2021 à 13:19

Bonjour Terrien,
En lisant vos réponses sur les forums (qui en latin devrait s'écrire fora ...) je m'étonne que vous n'ayez pas trouvé !
Vous ne savez pas ???
Pourquoi ne pas essayer de remplacer la sonde par une/des résistances et de regarder la valeur de la température indiquée ?
Évidemment le choix de la première sera arbitraire ... 10K, 1K, 100 Ohms ... En essayant plusieurs valeurs si bien entendu il s'agit d'une sonde dont la résistance varie avec la température il devrait être possible de trouver l'étendue, de déterminer si coefficient de température positif ou négatif et même de vérifier la linéarité. On peut aussi utiliser un potentiomètre : on place un 10KOhms, en tournant l'axe on regarde quelle température on obtient puis on relève la valeur de la résistance.
Cordialement, Martien-071
En lisant vos réponses sur les forums (qui en latin devrait s'écrire fora ...) je m'étonne que vous n'ayez pas trouvé !
Citation :Il s'agit d'une sonde extérieure, comme vous le dites bien souvent dont la valeur de la résistance varie avec la température... CTN, CTP, ...
Je suis technicien généraliste aux composants, retraité et je trouve 8 pannes sur 10 en quelques secondes si j'ai les bonnes informations. Je fais beaucoup de tv. Je sais que je suis pénible mais c'est le prix pour que j'aide le plus de personnes possible en un minimum de temps sur plusieurs forums.
Vous ne savez pas ???
Pourquoi ne pas essayer de remplacer la sonde par une/des résistances et de regarder la valeur de la température indiquée ?
Évidemment le choix de la première sera arbitraire ... 10K, 1K, 100 Ohms ... En essayant plusieurs valeurs si bien entendu il s'agit d'une sonde dont la résistance varie avec la température il devrait être possible de trouver l'étendue, de déterminer si coefficient de température positif ou négatif et même de vérifier la linéarité. On peut aussi utiliser un potentiomètre : on place un 10KOhms, en tournant l'axe on regarde quelle température on obtient puis on relève la valeur de la résistance.
Cordialement, Martien-071
28 janvier 2021 à 10:07

Bonjour les Terriens !
Je voudrais rappeler que le vinaigre (principe actif : acide acétique) détartre très bien surtout quand il est chauffé MAIS a le désavantage de détruire les joints et autres pièces contenant du silicone.
Dans le cas de la plomberie, s'il est possible, retirer tous les joints (ceux qui ressemblent à du caoutchouc) avant d'utiliser du vinaigre. Ne pas s'étonner si les pièces "chromées" prennent la couleur du cuivre, l'acide fait son œuvre.
Pour les appareils électroménagers comme les appareils à vapeur, les percolateurs et autres machines à expresso, préférez l'acide citrique (le E330 que l'on retrouve dans les sucreries, vendu en granulés et à dissoudre dans de l'eau) qui lui ne détruit pas les pièces constituées de silicone.
Cordialement, Martien-071
Je voudrais rappeler que le vinaigre (principe actif : acide acétique) détartre très bien surtout quand il est chauffé MAIS a le désavantage de détruire les joints et autres pièces contenant du silicone.
Dans le cas de la plomberie, s'il est possible, retirer tous les joints (ceux qui ressemblent à du caoutchouc) avant d'utiliser du vinaigre. Ne pas s'étonner si les pièces "chromées" prennent la couleur du cuivre, l'acide fait son œuvre.
Pour les appareils électroménagers comme les appareils à vapeur, les percolateurs et autres machines à expresso, préférez l'acide citrique (le E330 que l'on retrouve dans les sucreries, vendu en granulés et à dissoudre dans de l'eau) qui lui ne détruit pas les pièces constituées de silicone.
Cordialement, Martien-071
23 janvier 2021 à 13:46

Bonjour Terrien !
Avant de vous guider dans ce qui pourrait être une catastrophe.
Pourriez-vous donner un peu plus d'informations ?
Il s'agit donc de l'installation d'un interrupteur double destiné à commander 2 systèmes d'éclairages extérieurs, un au dessus de la porte d'entrée, l'autre au niveau du portail, correct ?
L'alimentation, phase et neutre pour les 2 éclairages proviennent du même circuit / disjoncteur ou pas ?
C'est la notation "neutre circuit portail" qui me chipote ... (on ne coupe pas un neutre seul) et le câblage que vous avez effectué. Il semble que l'alimentation du portail ne se fasse pas au niveau des interrupteurs.
Si c'est le cas ... attention aux normes (que je ne connais pas pour la France) mais qui bien souvent n'acceptent pas 2 alimentations distinctes arrivant dans un même boitier et le câblage sera différent.
Cordialement, Martien-071
Avant de vous guider dans ce qui pourrait être une catastrophe.

Pourriez-vous donner un peu plus d'informations ?
Il s'agit donc de l'installation d'un interrupteur double destiné à commander 2 systèmes d'éclairages extérieurs, un au dessus de la porte d'entrée, l'autre au niveau du portail, correct ?
L'alimentation, phase et neutre pour les 2 éclairages proviennent du même circuit / disjoncteur ou pas ?
C'est la notation "neutre circuit portail" qui me chipote ... (on ne coupe pas un neutre seul) et le câblage que vous avez effectué. Il semble que l'alimentation du portail ne se fasse pas au niveau des interrupteurs.
Si c'est le cas ... attention aux normes (que je ne connais pas pour la France) mais qui bien souvent n'acceptent pas 2 alimentations distinctes arrivant dans un même boitier et le câblage sera différent.
Cordialement, Martien-071
21 janvier 2021 à 07:39

Bonjour Terrienne, Terrien !
J'étais en train de réfléchir à une petite réponse alors que GL écrivait la sienne ...
Comme je comprends les choses ... la salle de bain est carrelée sur une portion de la hauteur des murs, une baignoire a été installée (pour l'utilisation de la baignoire la hauteur carrelée est suffisante)
Je le rejoins au niveau de la "complexité" des travaux :
- nettoyer le mur,
- placer des panneaux fibrociment ( pas obligatoire mais beaucoup plus facile pour le carrelage sur mur en brique. Remplace le cimentage du mur et assure une certaine étanchéité )
- placer un pare-vapeur sur les panneaux. (toujours pour l'étanchéité)
- poser les carreaux en utilisant de la colle résistant à l'eau et un mélange pour joint hydrofuge jusqu'à une hauteur de minimum 2,20 - 2,30m par rapport au fond du bac de douche ou jusqu'au plafond.
Si le mur n'est pas carrelé jusqu'au plafond, terminer le bord horizontal par une baguette de finition et/ou un bon joint silicone/acrylique ainsi l'eau éventuelle qui ruisselle sur le mur n'aura pas l'occasion de passer entre le carrelage et la paroi.
Pour sécher le mur plus rapidement (système des plafonneurs en construction), il est possible d'utiliser un déshumidificateur électrique. (achat, prêt, ou location)
A condition bien sûr de ne plus asperger le mur et de ne pas remplir la pièce de vapeur
le temps de séchage s'en verra fort amoindri.
En attendant ... aller prendre sa douche chez le/la voisin(e) ...
Tout cela a un prix, c'est certain !
Cordialement, Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

J'étais en train de réfléchir à une petite réponse alors que GL écrivait la sienne ...
Comme je comprends les choses ... la salle de bain est carrelée sur une portion de la hauteur des murs, une baignoire a été installée (pour l'utilisation de la baignoire la hauteur carrelée est suffisante)
Je le rejoins au niveau de la "complexité" des travaux :
- nettoyer le mur,
- placer des panneaux fibrociment ( pas obligatoire mais beaucoup plus facile pour le carrelage sur mur en brique. Remplace le cimentage du mur et assure une certaine étanchéité )
- placer un pare-vapeur sur les panneaux. (toujours pour l'étanchéité)
- poser les carreaux en utilisant de la colle résistant à l'eau et un mélange pour joint hydrofuge jusqu'à une hauteur de minimum 2,20 - 2,30m par rapport au fond du bac de douche ou jusqu'au plafond.
Si le mur n'est pas carrelé jusqu'au plafond, terminer le bord horizontal par une baguette de finition et/ou un bon joint silicone/acrylique ainsi l'eau éventuelle qui ruisselle sur le mur n'aura pas l'occasion de passer entre le carrelage et la paroi.
Pour sécher le mur plus rapidement (système des plafonneurs en construction), il est possible d'utiliser un déshumidificateur électrique. (achat, prêt, ou location)
A condition bien sûr de ne plus asperger le mur et de ne pas remplir la pièce de vapeur

En attendant ... aller prendre sa douche chez le/la voisin(e) ...

Tout cela a un prix, c'est certain !
Cordialement, Martien-071
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20 janvier 2021 à 10:14

Bonjour Terrien !
Je m'étonne vraiment de voir que vous évoquez un tarif au m3 de gaz et notamment pour le gaz naturel !
Le fournisseur de gaz ne vous facture pas un volume de gaz (en m3) mais de l'énergie (en kWh).
Le pouvoir calorifique du gaz naturel varie sans arrêt suivant sa provenance, suivant les mélanges...
Le gaz que l'on vous livre est constitué en grande partie de méthane (CH4) mais aussi de gaz inertes : azote (N2), dioxyde de carbone (CO2) ... et de 15 à 40 mg/m3 de Tétra Hydro Thiophène qui est le colorant olfactif pour la détection de fuites. De petites quantités de soufre peuvent aussi s'y trouver.
Suivant que vous êtes alimenté en gaz riche ou pauvre, la proportion de CH4 varie.
Le fournisseur de gaz doit pouvoir vous fournir les valeurs du Pouvoir Calorifique Supérieur en (kWh/m3) nécessaire au calcul d'équivalence m3 => kWh. Ce pouvoir calorifique mesuré dans des appareils de mesures spéciaux et calculé pour une pression de 1,01325 bar et à 0°C. ( Wobbe-mètre - Calorimètre gaz).
Le calcul est très simple : volume de gaz consommé en m3 x PCS en kWh/m3 = Énergie en kWh.
Et pour le kWh d'énergie qu'il y a un prix. Le kWh n'est pas uniquement réservé à l'électricité !
Watt = unité de la puissance = > 1 W (Watt) = 1 J (Joule) / seconde.
Puissance (W) x Temps (s, h) = Travail, Énergie en Joules.
Si vous recevez du gaz avec un PCS (Pouvoir Calorifique Supérieur) très haut, vous aurez besoin d'une plus faible quantité (en m3) pour assurer le chauffage que si vous recevez du gaz de PCS faible.
Concernant des problèmes de combustion dans les appareils de chauffage... c'est possible mais les variations de qualité calorifiques (PCS) ne sont pas telles que cela devrait poser problème.
Variations du PCS pour gaz pauvre : de 12,01 à 13,06 kWh/m3 en conditions normales de pression et température (1,01325 bar, 0°C)
Variation du PCS pour gaz riche : de 13,64 à 15,70 kWh/m3 en conditions normales de pression et température (1,01325 bar, 0°C)
Là aussi intervient le bon entretien et réglage des appareils de chauffage par un homme de l'Art. Vérification des pressions et débits, réglage de la quantité d'air...
A des fins de documentation, je joins un petit tableau contenant les pouvoirs calorifiques de différents combustibles.
Cordialement.
Martien-071
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Je m'étonne vraiment de voir que vous évoquez un tarif au m3 de gaz et notamment pour le gaz naturel !
Le fournisseur de gaz ne vous facture pas un volume de gaz (en m3) mais de l'énergie (en kWh).
Le pouvoir calorifique du gaz naturel varie sans arrêt suivant sa provenance, suivant les mélanges...
Le gaz que l'on vous livre est constitué en grande partie de méthane (CH4) mais aussi de gaz inertes : azote (N2), dioxyde de carbone (CO2) ... et de 15 à 40 mg/m3 de Tétra Hydro Thiophène qui est le colorant olfactif pour la détection de fuites. De petites quantités de soufre peuvent aussi s'y trouver.
Suivant que vous êtes alimenté en gaz riche ou pauvre, la proportion de CH4 varie.
Le fournisseur de gaz doit pouvoir vous fournir les valeurs du Pouvoir Calorifique Supérieur en (kWh/m3) nécessaire au calcul d'équivalence m3 => kWh. Ce pouvoir calorifique mesuré dans des appareils de mesures spéciaux et calculé pour une pression de 1,01325 bar et à 0°C. ( Wobbe-mètre - Calorimètre gaz).
Le calcul est très simple : volume de gaz consommé en m3 x PCS en kWh/m3 = Énergie en kWh.
Et pour le kWh d'énergie qu'il y a un prix. Le kWh n'est pas uniquement réservé à l'électricité !
Watt = unité de la puissance = > 1 W (Watt) = 1 J (Joule) / seconde.
Puissance (W) x Temps (s, h) = Travail, Énergie en Joules.
Si vous recevez du gaz avec un PCS (Pouvoir Calorifique Supérieur) très haut, vous aurez besoin d'une plus faible quantité (en m3) pour assurer le chauffage que si vous recevez du gaz de PCS faible.
Concernant des problèmes de combustion dans les appareils de chauffage... c'est possible mais les variations de qualité calorifiques (PCS) ne sont pas telles que cela devrait poser problème.
Variations du PCS pour gaz pauvre : de 12,01 à 13,06 kWh/m3 en conditions normales de pression et température (1,01325 bar, 0°C)
Variation du PCS pour gaz riche : de 13,64 à 15,70 kWh/m3 en conditions normales de pression et température (1,01325 bar, 0°C)
Là aussi intervient le bon entretien et réglage des appareils de chauffage par un homme de l'Art. Vérification des pressions et débits, réglage de la quantité d'air...
A des fins de documentation, je joins un petit tableau contenant les pouvoirs calorifiques de différents combustibles.
Cordialement.
Martien-071
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18 janvier 2021 à 15:01

Bonjour Terrien nerveux !
Une idée ...
Sur ces machines le "manque d'eau" peut être signalé par le débitmètre placé avant la pompe.
Il s'agit d'une petite hélice qui tourne lors du passage d'eau. Malgré l'utilisation d'eau filtrée (les filtres n'arrêtent pas tout), ce débitmètre peut se bloquer (calcaire, particules diverses, ...).
Le non-fonctionnement de la purge par le mousseur étaye cette hypothèse.
Pour trouver ce débitmètre ... il faudra désosser la bêbête ... (comme elle ne fonctionne plus et que le SAV baisse les bras, il n'y a pas grand-chose à perdre). Le marteau restera loin de l'établi.
Peut-être est-il possible de nettoyer le débitmètre ... Pour le détartrage, je préconise d'utiliser une solution d'acide citrique (ce qu'en général les fabricants utilisent et vendent à gros prix).
Dans les appareils électroménager n'utilisez pas de vinaigre !
Celui-ci détartre très bien (surtout si chauffé) mais a le grand inconvénient de détruire les joints, membranes et autres organes contenant du silicone.
Gardez le vinaigre pour détartrer la bouilloire.
Cordialement.
Martien-071
Une idée ...
Sur ces machines le "manque d'eau" peut être signalé par le débitmètre placé avant la pompe.
Il s'agit d'une petite hélice qui tourne lors du passage d'eau. Malgré l'utilisation d'eau filtrée (les filtres n'arrêtent pas tout), ce débitmètre peut se bloquer (calcaire, particules diverses, ...).
Le non-fonctionnement de la purge par le mousseur étaye cette hypothèse.
Pour trouver ce débitmètre ... il faudra désosser la bêbête ... (comme elle ne fonctionne plus et que le SAV baisse les bras, il n'y a pas grand-chose à perdre). Le marteau restera loin de l'établi.

Peut-être est-il possible de nettoyer le débitmètre ... Pour le détartrage, je préconise d'utiliser une solution d'acide citrique (ce qu'en général les fabricants utilisent et vendent à gros prix).
Dans les appareils électroménager n'utilisez pas de vinaigre !
Celui-ci détartre très bien (surtout si chauffé) mais a le grand inconvénient de détruire les joints, membranes et autres organes contenant du silicone.
Gardez le vinaigre pour détartrer la bouilloire.
Cordialement.
Martien-071
14 janvier 2021 à 12:20

Bonjour Terrien !
Pour quelle raison voulez-vous placer des réducteurs de pression ?
Le plus simple pour les réglages serait de placer les réducteurs directement à chaque étage.
Explication :
Pour faire monter de l'eau à 10m de haut quelque soit la forme de la canalisation il faut une pression de 1 bar ~= 1kg/cm².
(Juste monter l'eau dans la canalisation ... pas de pression à la sortie).
La formule physique est P = rhô x g x h (P = pression, rhô = masse volumique du fluide et h la hauteur)
Règle de 3 ... pour 0,1 bar pour 1m, 0,2 pour 2m, ...
Si un dénivelé de 10m (par exemple) existe entre le réducteur et l'appartement, pour avoir une pression de 3 bars il faudra régler le réducteur sur 4 bars.
Si le réducteur est placé au niveau de l'appartement, le manomètre du réducteur donnera la pression à cet étage.
Cordialement, Martien-071
Pour quelle raison voulez-vous placer des réducteurs de pression ?
Le plus simple pour les réglages serait de placer les réducteurs directement à chaque étage.
Explication :
Pour faire monter de l'eau à 10m de haut quelque soit la forme de la canalisation il faut une pression de 1 bar ~= 1kg/cm².
(Juste monter l'eau dans la canalisation ... pas de pression à la sortie).
La formule physique est P = rhô x g x h (P = pression, rhô = masse volumique du fluide et h la hauteur)
Règle de 3 ... pour 0,1 bar pour 1m, 0,2 pour 2m, ...
Si un dénivelé de 10m (par exemple) existe entre le réducteur et l'appartement, pour avoir une pression de 3 bars il faudra régler le réducteur sur 4 bars.
Si le réducteur est placé au niveau de l'appartement, le manomètre du réducteur donnera la pression à cet étage.
Cordialement, Martien-071
13 janvier 2021 à 11:52

Bonjour les Terriens.
Je ne fais que passer ...
Pratiquer un piquage sur un raccord entre 2 flexibles pour alimenter en eau un lave-vaisselle ou autre appareil électroménager est assez inhabituel et même en bricolage ... n'est pas très pro !
Lorsque le LV prend de l'eau ou arrête d'en prendre, il ne serait pas étonnant que les tuyaux flexibles bougent ... Pas super !
Il faudrait fixer les flexibles... Drôle d'installation !
Les flexibles qui semblent métalliques : ce n'est que la protection en maille qui est métallique, en dessous les tuyaux sont constitués d'une matière souple genre caoutchouc. Les raccords sont eux bien métalliques.
La solution la plus simple serait de placer un Té à la sortie de la paroi à la place de la vanne existante, sur une des branches du Té replacer la vanne pour l'évier et sur l'autre une autre vanne avec sortie 3/4 mâle (arrêt pour le LV).
S'il n'est pas possible de démonter la vanne de la conduite ... peut-être est-elle soudée au cuivre ...
Laisser la vanne en place et placer le Té après celle-ci : une branche alimente l'évier, l'autre le LV.
Dans ce cas il n'y aurait qu'une vanne d'arrêt pour l'évier et pour le LV.
L'idéal pour la vanne LV est d'utiliser un robinet qui permet de visser l'embout 3/4 du tuyau flexible du LV, soit avec un plan de joint convenable afin de ne pas cisailler le joint en caoutchouc (Double service ou vanne à bille).
En ce qui concerne l'évacuation, la photo n'est pas fort explicite ...
Je suppose que l'on voit un raccord démontable désassemblé et à droite je suppose que c'est le système de siphon pour l'évacuation de l'évier.
Un piquage pour l'évacuation des eaux devrait être possible mais il faudrait placer un siphon pour le LV.
Cordialement, Martien-071
Je ne fais que passer ...
Pratiquer un piquage sur un raccord entre 2 flexibles pour alimenter en eau un lave-vaisselle ou autre appareil électroménager est assez inhabituel et même en bricolage ... n'est pas très pro !
Lorsque le LV prend de l'eau ou arrête d'en prendre, il ne serait pas étonnant que les tuyaux flexibles bougent ... Pas super !

Les flexibles qui semblent métalliques : ce n'est que la protection en maille qui est métallique, en dessous les tuyaux sont constitués d'une matière souple genre caoutchouc. Les raccords sont eux bien métalliques.
La solution la plus simple serait de placer un Té à la sortie de la paroi à la place de la vanne existante, sur une des branches du Té replacer la vanne pour l'évier et sur l'autre une autre vanne avec sortie 3/4 mâle (arrêt pour le LV).
S'il n'est pas possible de démonter la vanne de la conduite ... peut-être est-elle soudée au cuivre ...
Laisser la vanne en place et placer le Té après celle-ci : une branche alimente l'évier, l'autre le LV.
Dans ce cas il n'y aurait qu'une vanne d'arrêt pour l'évier et pour le LV.
L'idéal pour la vanne LV est d'utiliser un robinet qui permet de visser l'embout 3/4 du tuyau flexible du LV, soit avec un plan de joint convenable afin de ne pas cisailler le joint en caoutchouc (Double service ou vanne à bille).
En ce qui concerne l'évacuation, la photo n'est pas fort explicite ...
Je suppose que l'on voit un raccord démontable désassemblé et à droite je suppose que c'est le système de siphon pour l'évacuation de l'évier.
Un piquage pour l'évacuation des eaux devrait être possible mais il faudrait placer un siphon pour le LV.
Cordialement, Martien-071
13 janvier 2021 à 11:35

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste mais je peux vous faire part de quelques expériences.
Le problème avec les portes non débordantes est qu'une fois ouvertes au maximum, celle-ci est horizontale et comme elle ne déborde pas a un très bon équilibre. Si on demande une fermeture, la poussée du moteur avec crémaillère se fera à l'horizontal comme pour l'éjecter horizontalement. Or pour fermer cette porte il faudra tirer le bord extérieur de la porte vers le bas.
Les solutions que j'ai employées :
- placer des butées au niveau des rails pour empêcher la porte de remonter au maximum 5-6 cm en dessous de la position haute. La descente de la porte est ainsi empêchée par le moteur.
Évidemment on perd un peu en hauteur au niveau de la porte.
- lester le bord extérieur de la porte (j'ai placé un tube acier 3/4 faisant toute la largeur et fixé à la porte)
Moyennant ces modifications j'ai pu installer un système de moteur classique à crémaillère.
Bien entendu, ce n'est que mon bricolage ... mais cela fait plus de 20 ans que cela fonctionne.
Cordialement,
Martien-071
Je ne suis pas spécialiste mais je peux vous faire part de quelques expériences.
Le problème avec les portes non débordantes est qu'une fois ouvertes au maximum, celle-ci est horizontale et comme elle ne déborde pas a un très bon équilibre. Si on demande une fermeture, la poussée du moteur avec crémaillère se fera à l'horizontal comme pour l'éjecter horizontalement. Or pour fermer cette porte il faudra tirer le bord extérieur de la porte vers le bas.
Les solutions que j'ai employées :
- placer des butées au niveau des rails pour empêcher la porte de remonter au maximum 5-6 cm en dessous de la position haute. La descente de la porte est ainsi empêchée par le moteur.
Évidemment on perd un peu en hauteur au niveau de la porte.
- lester le bord extérieur de la porte (j'ai placé un tube acier 3/4 faisant toute la largeur et fixé à la porte)
Moyennant ces modifications j'ai pu installer un système de moteur classique à crémaillère.
Bien entendu, ce n'est que mon bricolage ... mais cela fait plus de 20 ans que cela fonctionne.
Cordialement,
Martien-071
11 janvier 2021 à 16:07

Bonjour Terrien !
Je pense qu'il s'agit d'une sorte d'écrou. La tige filetée apparait au centre.
Pour dévisser, à défaut de posséder ou de se procurer l'outil adéquat, je crains qu'il ne faille "sacrifier" un tournevis plat ayant la dimension de lame correcte (largeur et épaisseur) et de pratiquer une entaille en son milieu avec ... une scie ? un petit coup précis de disqueuse ? un bon coup de lime ? *
Un embout de vissage pourrait aussi être modifié ... moins onéreux peut-être.
Cordialement, Martien-071
* Personnellement, je garde dans un coin de l'atelier une boite contenant toutes sortes d'outils dépareillés, endommagés ou trouvés lors de vide-grenier ... Ils sont destinés à être modifiés, adaptés pour convenir à diverses applications. Une fois modifiés, certains rejoignent un tiroir contenant les "outils spéciaux".
Je pense qu'il s'agit d'une sorte d'écrou. La tige filetée apparait au centre.
Pour dévisser, à défaut de posséder ou de se procurer l'outil adéquat, je crains qu'il ne faille "sacrifier" un tournevis plat ayant la dimension de lame correcte (largeur et épaisseur) et de pratiquer une entaille en son milieu avec ... une scie ? un petit coup précis de disqueuse ? un bon coup de lime ? *
Un embout de vissage pourrait aussi être modifié ... moins onéreux peut-être.
Cordialement, Martien-071
* Personnellement, je garde dans un coin de l'atelier une boite contenant toutes sortes d'outils dépareillés, endommagés ou trouvés lors de vide-grenier ... Ils sont destinés à être modifiés, adaptés pour convenir à diverses applications. Une fois modifiés, certains rejoignent un tiroir contenant les "outils spéciaux".
09 janvier 2021 à 12:13

Bonjour Terrien Polo !
Heureux d'avoir pu vous éclairer un peu.
Il n'est peut-être pas nécessaire de faire un échange. Il doit exister un kit d'adaptation qu'un personnel habilité peut placer pour faire fonctionner l'appareil sur gaz bonbonne (le kit comprend les gicleurs et l'opération nécessite un réglage minutieux).
Cordialement,
Martien-071
Heureux d'avoir pu vous éclairer un peu.
Il n'est peut-être pas nécessaire de faire un échange. Il doit exister un kit d'adaptation qu'un personnel habilité peut placer pour faire fonctionner l'appareil sur gaz bonbonne (le kit comprend les gicleurs et l'opération nécessite un réglage minutieux).
Cordialement,
Martien-071
08 janvier 2021 à 13:18

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste en plomberie.
Lorsque l'on achète, déballe ou on a l'intention d'installer un appareil ... on vérifie la conformité pour l'utilisation que l'on en aura, on l'inspecte.
Tout le monde fait ça, c'est sûr !
Bien souvent il faut tout sortir des boites pour trouver la notice où, après toutes les mesures et précautions de sécurité, on trouve comment déballer l'appareil
Il est bien connu que tout le monde lit entièrement le Mode d'Emploi avant d'utiliser les appareils.
Ou bien ... on le lit enfin quand plus rien ne fonctionne.
En principe sur tous les appareils doit figurer une plaque signalétique.
Sur celle-ci sont reprises diverses informations dont :
- le modèle, références, ...
- le type de gaz prévu à la sortie d'usine,
- la date de fabrication,
- ...
C'est donc sur cette plaque (ou autocollant) que vous trouverez les informations.
Selon la codification européenne, G30/G31 désignent le butane/propane et G20 le gaz naturel (riche).
Si une modification devait s'effectuer, je vous conseille vivement de vous adresser à un SAV agréé pour la marque.
Cordialement, Martien-071
Je ne suis pas spécialiste en plomberie.
Lorsque l'on achète, déballe ou on a l'intention d'installer un appareil ... on vérifie la conformité pour l'utilisation que l'on en aura, on l'inspecte.

Tout le monde fait ça, c'est sûr !



Il est bien connu que tout le monde lit entièrement le Mode d'Emploi avant d'utiliser les appareils.

Ou bien ... on le lit enfin quand plus rien ne fonctionne.

En principe sur tous les appareils doit figurer une plaque signalétique.
Sur celle-ci sont reprises diverses informations dont :
- le modèle, références, ...
- le type de gaz prévu à la sortie d'usine,
- la date de fabrication,
- ...
C'est donc sur cette plaque (ou autocollant) que vous trouverez les informations.
Selon la codification européenne, G30/G31 désignent le butane/propane et G20 le gaz naturel (riche).
Si une modification devait s'effectuer, je vous conseille vivement de vous adresser à un SAV agréé pour la marque.
Cordialement, Martien-071
08 janvier 2021 à 11:59

Bonjour Terrien !
Oups, c'est vrai ... j'ai encore oublié la tradition terrienne...
Meilleurs Vœux Terrien !
Je ne possède pas de centrale de ce type et ne puis donc pas mesurer les tensions.
J'ai omis de demander tout-à-l'heure la valeur de la tension d'alimentation secteur car un transformateur a un rapport de transformation et ... si il n'y a pas assez en entrée, il n'y aura forcément pas assez en sortie !
Sur la photo fournie, de laquelle j'ai prélevé un morceau : entouré en rouge le condensateur de l'alimentation en tension continue. Est-ce un effet ou est-il endommagé à l'endroit indiqué par la flèche ?
Cordialement,
Martien-071
Oups, c'est vrai ... j'ai encore oublié la tradition terrienne...

Je ne possède pas de centrale de ce type et ne puis donc pas mesurer les tensions.
J'ai omis de demander tout-à-l'heure la valeur de la tension d'alimentation secteur car un transformateur a un rapport de transformation et ... si il n'y a pas assez en entrée, il n'y aura forcément pas assez en sortie !
Sur la photo fournie, de laquelle j'ai prélevé un morceau : entouré en rouge le condensateur de l'alimentation en tension continue. Est-ce un effet ou est-il endommagé à l'endroit indiqué par la flèche ?
Cordialement,
Martien-071
07 janvier 2021 à 19:45

Bonjour Terrien !
Vous parlez d'un "chargeur de batterie", sur cette centrale ce dispositif est intégré à la platine de la centrale.
Êtes-vous sûr de la tension de charge de la batterie ? Mesure sur les fils venant de la centrale sans batterie, avec batterie et tension présente aux bornes de la batterie connectée et déconnectée.
Dans quel état est la batterie ? Quel âge a t'elle ?
Avez-vous vérifié le courant de charge de la batterie ? Placer un ampèremètre entre la batterie est la centrale.
Que la tension alternative délivrée par le transformateur ne soit pas suffisante est étonnant voire impensable !
Le fabricant a prévu sa centrale avec ce transformateur et si le système a fonctionné avec celui-ci, c'est qu'il est adapté. Un transformateur ne moisit et ne pourrit pas, son rapport de transformation ne change pas ni avec le temps, ni l'usure (si on doit considérer qu'il y en a une !).
Vous avez mesuré une tension alternative de 15,9V. Vous dites que cette tension reste à 15,9V que ce soit à vide ou en charge. Le transformateur est donc bien suffisant pour alimenter la centrale et ses périphériques. Pas ou quasi pas de chute de tension entre "à vide" et "en charge".
Vous avez une tension alternative de 15,9V => la tension continue après redressement et "stabilisation" par condensateur est de 15,9 x racine carrée de 2 = 22,48V Si on considère que l'on perd environ 2V (ce qui est énorme) dans le pont de diodes
(en principe 1,2 - 1,6V) il reste bien une vingtaine de Volts.
=> Pas de problème de conception et un remplacement de transformateur n'est pas à prévoir.
Il y a fort à parier que les condensateurs de l'alimentation sur la platine aient des tensions maximales de service de 25V (à vérifier). Si c'est le cas ... mettez un transfo délivrant 20V ac et ces pauvres condensateur se prennent une overdose
:
20 x racine carrée de 2 = 28,28 V ! en retirant les chutes de tensions dans le pont redresseur (max 2V) il reste 26,28V ! > 25V.
Il est toujours possible que les condensateurs de l'alimentation soient fatigués => la tension continue peut diminuer. Un remplacement peut s'envisager. Quelques photos de la platine seraient alors utiles pour vous guider dans le dépannage.
Cordialement.
Martien-071
Vous parlez d'un "chargeur de batterie", sur cette centrale ce dispositif est intégré à la platine de la centrale.
Êtes-vous sûr de la tension de charge de la batterie ? Mesure sur les fils venant de la centrale sans batterie, avec batterie et tension présente aux bornes de la batterie connectée et déconnectée.
Dans quel état est la batterie ? Quel âge a t'elle ?
Avez-vous vérifié le courant de charge de la batterie ? Placer un ampèremètre entre la batterie est la centrale.
Que la tension alternative délivrée par le transformateur ne soit pas suffisante est étonnant voire impensable !
Le fabricant a prévu sa centrale avec ce transformateur et si le système a fonctionné avec celui-ci, c'est qu'il est adapté. Un transformateur ne moisit et ne pourrit pas, son rapport de transformation ne change pas ni avec le temps, ni l'usure (si on doit considérer qu'il y en a une !).
Vous avez mesuré une tension alternative de 15,9V. Vous dites que cette tension reste à 15,9V que ce soit à vide ou en charge. Le transformateur est donc bien suffisant pour alimenter la centrale et ses périphériques. Pas ou quasi pas de chute de tension entre "à vide" et "en charge".
Vous avez une tension alternative de 15,9V => la tension continue après redressement et "stabilisation" par condensateur est de 15,9 x racine carrée de 2 = 22,48V Si on considère que l'on perd environ 2V (ce qui est énorme) dans le pont de diodes

=> Pas de problème de conception et un remplacement de transformateur n'est pas à prévoir.
Il y a fort à parier que les condensateurs de l'alimentation sur la platine aient des tensions maximales de service de 25V (à vérifier). Si c'est le cas ... mettez un transfo délivrant 20V ac et ces pauvres condensateur se prennent une overdose

20 x racine carrée de 2 = 28,28 V ! en retirant les chutes de tensions dans le pont redresseur (max 2V) il reste 26,28V ! > 25V.

Il est toujours possible que les condensateurs de l'alimentation soient fatigués => la tension continue peut diminuer. Un remplacement peut s'envisager. Quelques photos de la platine seraient alors utiles pour vous guider dans le dépannage.
Cordialement.
Martien-071
07 janvier 2021 à 12:22

Bonjour Terrien Willy !
Il faudrait plus de précisions :
- Lorsque vous dites "il se lance" que voulez-vous dire exactement ? Un/des voyant(s) s'allume(nt) ? Le moteur se met à tourner ? ... autre chose ?
- Si vous le laissez débranché quelques temps et que vous le branchez l'appareil se met en marche - là je suppose que vous entendez le moteur.
- Lorsque vous débranchez et rebranchez l'appareil ... est-ce dans un court laps de temps ? moins d'une minute par exemple.
Si c'est le cas le phénomène peut être tout à fait normal.
Dans ce cas le moteur ne démarre pas et peu après avoir branché l'appareil vous devriez entendre un clic provenant du moteur (assez caractéristique lorsqu'on l'a entendu).
Le compresseur (moteur) s'il a tourné très récemment est "en pression" (lors de l'arrêt du moteur, il n'y a pas de dispositif permettant de lâcher la pression présente au dessus du cylindre - sur les compresseurs à air d'atelier ce dispositif est présent ... c'est ce qui produit le "Pschhuiit" à l'arrêt automatique ou par le bouton du pressostat) et si on tente de le remettre en route, le moteur n'est pas puissant assez pour redémarrer, le klixon (protection surcharge et thermique du moteur) entre en jeu et coupe temporairement l'alimentation électrique du moteur.
Le klixon se réarme tout seul et un nouveau démarrage est tenté ... ou le moteur démarre ou il y a encore trop de pression et le klixon déclenche à nouveau. Ceci se produira tant que la pression n'aura pas diminué dans le cylindre et que le moteur n'aura pas démarré. Il y a parfois 3 à 6 tentatives de démarrage. Ceci est normal.
Dans le cas de microcoupures d'électricité pendant le fonctionnement du moteur il y a de très forte chances que le klixon travaille. Attendez quelques minutes (=>10 min) et le moteur doit avoir redémarré.
Il y a aussi une panne qui donne des démarrages difficiles sur certains Liebherr (dans ce cas à la tentative de démarrage l'afficheur perd de son intensité et le moteur démarre avec des soubresauts).
Est-ce le cas chez vous ?
Le module est hors de prix par rapport à la panne et sa résolution (peut-être 1€ de pièces et 15 à 30 min de main d’œuvre).
Cordialement,
Martien-071
Il faudrait plus de précisions :
- Lorsque vous dites "il se lance" que voulez-vous dire exactement ? Un/des voyant(s) s'allume(nt) ? Le moteur se met à tourner ? ... autre chose ?
- Si vous le laissez débranché quelques temps et que vous le branchez l'appareil se met en marche - là je suppose que vous entendez le moteur.
- Lorsque vous débranchez et rebranchez l'appareil ... est-ce dans un court laps de temps ? moins d'une minute par exemple.
Si c'est le cas le phénomène peut être tout à fait normal.
Dans ce cas le moteur ne démarre pas et peu après avoir branché l'appareil vous devriez entendre un clic provenant du moteur (assez caractéristique lorsqu'on l'a entendu).
Le compresseur (moteur) s'il a tourné très récemment est "en pression" (lors de l'arrêt du moteur, il n'y a pas de dispositif permettant de lâcher la pression présente au dessus du cylindre - sur les compresseurs à air d'atelier ce dispositif est présent ... c'est ce qui produit le "Pschhuiit" à l'arrêt automatique ou par le bouton du pressostat) et si on tente de le remettre en route, le moteur n'est pas puissant assez pour redémarrer, le klixon (protection surcharge et thermique du moteur) entre en jeu et coupe temporairement l'alimentation électrique du moteur.
Le klixon se réarme tout seul et un nouveau démarrage est tenté ... ou le moteur démarre ou il y a encore trop de pression et le klixon déclenche à nouveau. Ceci se produira tant que la pression n'aura pas diminué dans le cylindre et que le moteur n'aura pas démarré. Il y a parfois 3 à 6 tentatives de démarrage. Ceci est normal.
Dans le cas de microcoupures d'électricité pendant le fonctionnement du moteur il y a de très forte chances que le klixon travaille. Attendez quelques minutes (=>10 min) et le moteur doit avoir redémarré.
Il y a aussi une panne qui donne des démarrages difficiles sur certains Liebherr (dans ce cas à la tentative de démarrage l'afficheur perd de son intensité et le moteur démarre avec des soubresauts).
Est-ce le cas chez vous ?
Le module est hors de prix par rapport à la panne et sa résolution (peut-être 1€ de pièces et 15 à 30 min de main d’œuvre).
Cordialement,
Martien-071
07 janvier 2021 à 10:37

Bonjour Terrien !
En échangeant le fil rouge avec le bleu et vice versa vous avez créé un court-circuit entre phase et neutre via le contact de l'interrupteur !
Je pense que cet interrupteur sert pour la coupure générale de l'engin. Le problème se situe donc maintenant dans l'alimentation électrique avant l'interrupteur.
Vérifiez dans le bornier de la machine la présence de la tension secteur (multimètre en voltmètre AC ou lampe témoin 230V).
L'appareil est semble t'il divisé en 2 éléments : intérieur et extérieur. L'alimentation de l'unité intérieure est peut-être prise sur l'unité extérieure. Dans ce cas il est possible qu'il y ait un dispositif de protection (fusible, disjoncteur) dans l'unité extérieure.
Cordialement.
Martien-071
En échangeant le fil rouge avec le bleu et vice versa vous avez créé un court-circuit entre phase et neutre via le contact de l'interrupteur !

Je pense que cet interrupteur sert pour la coupure générale de l'engin. Le problème se situe donc maintenant dans l'alimentation électrique avant l'interrupteur.
Vérifiez dans le bornier de la machine la présence de la tension secteur (multimètre en voltmètre AC ou lampe témoin 230V).
L'appareil est semble t'il divisé en 2 éléments : intérieur et extérieur. L'alimentation de l'unité intérieure est peut-être prise sur l'unité extérieure. Dans ce cas il est possible qu'il y ait un dispositif de protection (fusible, disjoncteur) dans l'unité extérieure.
Cordialement.
Martien-071
06 janvier 2021 à 23:16

Bonjour Terrien !
Ah... les grands-parents ... ils aimaient beaucoup avoir des vêtements bien repassés ... y compris caleçons, mouchoirs...
L'antenne de votre dispositif a été pliée, en principe elle est bien droite.
Il s'agit d'une allonge pour fer à repasser. La partie prise se fixe sur le bord de la table à repasser, l'antenne bien verticale.
La fiche du fer se met dans la prise de l'allonge et le câble du fer transite par l'extrémité de l'antenne, dans la pince grise.
Ce système permet de repasser sans se soucier de la position du câble d'alimentation du fer : en principe pas moyen de le repasser lui aussi !
Un modèle équivalent en photo.
Cordialement.
Martien-071
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Ah... les grands-parents ... ils aimaient beaucoup avoir des vêtements bien repassés ... y compris caleçons, mouchoirs...

L'antenne de votre dispositif a été pliée, en principe elle est bien droite.
Il s'agit d'une allonge pour fer à repasser. La partie prise se fixe sur le bord de la table à repasser, l'antenne bien verticale.
La fiche du fer se met dans la prise de l'allonge et le câble du fer transite par l'extrémité de l'antenne, dans la pince grise.
Ce système permet de repasser sans se soucier de la position du câble d'alimentation du fer : en principe pas moyen de le repasser lui aussi !

Un modèle équivalent en photo.
Cordialement.
Martien-071
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06 janvier 2021 à 23:03

Oups ... trop vite ! J'ai oublié de joindre le schéma électrique d'un moteur de compresseur !
Le voici : Remarque : dans le cas d'un moteur avec condensateur de démarrage celui-ci se connecte à la place du pont entre 1 et 2 sur le schéma.
Cordialement, Martien-071
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Le voici : Remarque : dans le cas d'un moteur avec condensateur de démarrage celui-ci se connecte à la place du pont entre 1 et 2 sur le schéma.
Cordialement, Martien-071
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06 janvier 2021 à 12:42

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas frigoriste ni spécialiste en électroménager. J'ai cependant approché ce genre d'engin !
Je ne comprends pas ce qui vous a aiguillé sur le relais de démarrage du compresseur.
Si l'appareil refroidit c'est que le compresseur fonctionne et donc que le "relais" de celui-ci fonctionne correctement.
Ce relais sert uniquement à démarrer le compresseur et à imposer au moteur le sens de rotation adéquat.
Les compresseurs (monophasés) des appareils domestiques sont munis d'un moteur asynchrone (à cage d'écureuil) à 2 enroulements : 1 enroulement "puissance" et 1 enroulement servant uniquement au démarrage du moteur (procurer du couple au démarrage).
Le principe de ce relais est simple :
Il est placé en série avec l'enroulement principal du moteur.
Au départ le moteur est à l'arrêt, on lui applique une tension et comme il ne tourne pas un courant important (en Ampères) circule dans le circuit. A ce moment le moteur consomme beaucoup plus que lorsqu'il tourne !
Ce courant est suffisant pour exciter la bobine du relais => le contact de celui-ci se ferme, met en service l'enroulement de démarrage via un condensateur ou non (cela dépend du modèle de compresseur). Le moteur commence à tourner.
Lorsque le moteur a démarré, le courant (en Ampères) qui circule dans le circuit diminue et n'est plus suffisant pour maintenir le contact du relais fermé => il s'ouvre et déconnecte l'enroulement de démarrage.
Le moteur continue de tourner jusqu'à ce que l'on coupe son alimentation électrique.
Le "Klixon" dans le circuit est une protection thermique à réarmement automatique, il a un double rôle :
- protection de surintensité thermique : si le compresseur ne démarre pas dans un temps imparti le courant (intensité) circulant dans le circuit est trop élevé et le klixon l'interrompt. Lorsque le klixon sera refroidi il rétablira le circuit.
- protection thermique du compresseur : Si la température du boitier du compresseur dépasse une certaine valeur, le klixon interrompra l'alimentation électrique. Lorsque la température sera redescendue à un valeur admissible le circuit sera remis en service).
Si l'appareil gèle c'est au niveau de la régulation en température qu'il faudrait investiguer : thermostat, sonde, module, câbles ...
Vérifier si la sonde de température est correctement placée.
Dans les appareils No-frost, vérifier que le ventilateur (circulation de l'air) fonctionne correctement. Attention, celui-ci est mis hors service lors de l'ouverture des portes.
Cordialement, Martien-071
Je ne suis pas frigoriste ni spécialiste en électroménager. J'ai cependant approché ce genre d'engin !

Je ne comprends pas ce qui vous a aiguillé sur le relais de démarrage du compresseur.

Si l'appareil refroidit c'est que le compresseur fonctionne et donc que le "relais" de celui-ci fonctionne correctement.
Ce relais sert uniquement à démarrer le compresseur et à imposer au moteur le sens de rotation adéquat.
Les compresseurs (monophasés) des appareils domestiques sont munis d'un moteur asynchrone (à cage d'écureuil) à 2 enroulements : 1 enroulement "puissance" et 1 enroulement servant uniquement au démarrage du moteur (procurer du couple au démarrage).
Le principe de ce relais est simple :
Il est placé en série avec l'enroulement principal du moteur.
Au départ le moteur est à l'arrêt, on lui applique une tension et comme il ne tourne pas un courant important (en Ampères) circule dans le circuit. A ce moment le moteur consomme beaucoup plus que lorsqu'il tourne !
Ce courant est suffisant pour exciter la bobine du relais => le contact de celui-ci se ferme, met en service l'enroulement de démarrage via un condensateur ou non (cela dépend du modèle de compresseur). Le moteur commence à tourner.
Lorsque le moteur a démarré, le courant (en Ampères) qui circule dans le circuit diminue et n'est plus suffisant pour maintenir le contact du relais fermé => il s'ouvre et déconnecte l'enroulement de démarrage.
Le moteur continue de tourner jusqu'à ce que l'on coupe son alimentation électrique.
Le "Klixon" dans le circuit est une protection thermique à réarmement automatique, il a un double rôle :
- protection de surintensité thermique : si le compresseur ne démarre pas dans un temps imparti le courant (intensité) circulant dans le circuit est trop élevé et le klixon l'interrompt. Lorsque le klixon sera refroidi il rétablira le circuit.
- protection thermique du compresseur : Si la température du boitier du compresseur dépasse une certaine valeur, le klixon interrompra l'alimentation électrique. Lorsque la température sera redescendue à un valeur admissible le circuit sera remis en service).
Si l'appareil gèle c'est au niveau de la régulation en température qu'il faudrait investiguer : thermostat, sonde, module, câbles ...
Vérifier si la sonde de température est correctement placée.
Dans les appareils No-frost, vérifier que le ventilateur (circulation de l'air) fonctionne correctement. Attention, celui-ci est mis hors service lors de l'ouverture des portes.
Cordialement, Martien-071
06 janvier 2021 à 12:38

Bonjour Terrien !
Le bruit ne se produit que lorsque le radiateur est en chauffe ? Une fois chaud, le bruit est-il encore émis ?
Je pense à des bruits de dilatation ... Lorsque les matériaux chauffent, ils se dilatent => il y a mouvement.
La dilatation des matériaux est un phénomène "normal", rien ne peut s'y opposer.
Cordialement.
Martien-071
Le bruit ne se produit que lorsque le radiateur est en chauffe ? Une fois chaud, le bruit est-il encore émis ?
Je pense à des bruits de dilatation ... Lorsque les matériaux chauffent, ils se dilatent => il y a mouvement.
La dilatation des matériaux est un phénomène "normal", rien ne peut s'y opposer.
Cordialement.
Martien-071
03 janvier 2021 à 23:39

Bonjour Terrien !
Les batteries sont en général à remplacer tous les 3-5 ans (suivant la législation du lieu). Toutefois elles peuvent durer plus longtemps. (j'en ai eu qui avaient une dizaine d'années avant de mourir. Elles tenaient leur charge pendant la durée voulue mais un jour ... fini).
Ce genre de défaut comme les défauts de sabotage se réarme simplement en entrant et sortant du mode maintenance/ingénieur. Rien d'autre à faire.
Cordialement, Martien-071
Les batteries sont en général à remplacer tous les 3-5 ans (suivant la législation du lieu). Toutefois elles peuvent durer plus longtemps. (j'en ai eu qui avaient une dizaine d'années avant de mourir. Elles tenaient leur charge pendant la durée voulue mais un jour ... fini).
Ce genre de défaut comme les défauts de sabotage se réarme simplement en entrant et sortant du mode maintenance/ingénieur. Rien d'autre à faire.
Cordialement, Martien-071
03 janvier 2021 à 17:28

Bonjour Terrien !
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Si l'aiguille du manomètre monte au delà de la pression de consigne du réducteur, c'est qu'il y a une pression plus importante en aval de celui-ci ... Vous avez plus de 4 bars et lorsque vous prenez de l'eau la pression redescend à la valeur de consigne du régulateur.
Je pense à un clapet antiretour sur l'eau sanitaire à l'entrée de la chaudière qui reste bloqué ouvert.
En chauffant, l'eau se dilate et fait augmenter la pression dans le circuit, normalement le clapet antiretour (entrée eau froide sanitaire sur la chaudière) est fermé et la surpression est maintenue dans une zone acceptable par le groupe de sécurité/soupape de sécurité eau sanitaire.
Vérifiez le clapet anti-retour entrée eau froide sanitaire de la chaudière.
Cordialement, Martien-071
Je ne suis pas spécialiste en chauffage.
Si l'aiguille du manomètre monte au delà de la pression de consigne du réducteur, c'est qu'il y a une pression plus importante en aval de celui-ci ... Vous avez plus de 4 bars et lorsque vous prenez de l'eau la pression redescend à la valeur de consigne du régulateur.
Je pense à un clapet antiretour sur l'eau sanitaire à l'entrée de la chaudière qui reste bloqué ouvert.
En chauffant, l'eau se dilate et fait augmenter la pression dans le circuit, normalement le clapet antiretour (entrée eau froide sanitaire sur la chaudière) est fermé et la surpression est maintenue dans une zone acceptable par le groupe de sécurité/soupape de sécurité eau sanitaire.
Vérifiez le clapet anti-retour entrée eau froide sanitaire de la chaudière.
Cordialement, Martien-071
03 janvier 2021 à 15:08
