Bruit sur chaudière fioul
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FAQ Question chauffage : Bruit sur chaudière fioul
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Bonjour,
Le brûleur de ma chaudière Viessmann fait un bruit épouvantable, bruit de quelque chose qui grippe.
Tout est propre : brûleur, filtre pompe, et alimentation fuel. J'ai l'impression que ça vient de la pompe ou du ventilateur.
Toutefois, la chaudière fonctionne normalement, ne salit pas le brûleur, ne se met pas en sécurité.
J'ai ce problème depuis trois ans, le bruit disparaît puis revient par période.
Merci de m'éclairer si vous le pouvez.
Le brûleur de ma chaudière Viessmann fait un bruit épouvantable, bruit de quelque chose qui grippe.
Tout est propre : brûleur, filtre pompe, et alimentation fuel. J'ai l'impression que ça vient de la pompe ou du ventilateur.
Toutefois, la chaudière fonctionne normalement, ne salit pas le brûleur, ne se met pas en sécurité.
J'ai ce problème depuis trois ans, le bruit disparaît puis revient par période.
Merci de m'éclairer si vous le pouvez.
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Bruit sur chaudière fioul
Invité

Bonjour, cela peut provenir de la pompe fioul qui cavite, cause : alimentation en fioul freinée ou obstruée de la crépine citerne au filtre. Egalement, l'accouplement de cette même pompe peut être endommagé. Peut venir aussi de la turbine du ventilateur qui frotte.
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Bruit sur chaudière fioul
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Moi, je pense aux roulements de votre moteur.
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Bruit sur chaudière fioul
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J'ai eu le cas sur une Vitola, avec un brûleur Vitoflame version 2 ; j'ai changé le moteur depuis plus de problème.
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Bruit sur chaudière fioul
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Contrôler l'étanchéité de la ligne d'alimentation de la pompe.
Une entrée d'air peut causer ce genre de bruit tout en n'empêchant pas la chaudière de fonctionner.
Une entrée d'air peut causer ce genre de bruit tout en n'empêchant pas la chaudière de fonctionner.
19 mars 2011 à 14:34
Réponses 5 Forum chauffage
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Bruit sur chaudière fioul
Invité

J’étais un peu perplexe de me retrouver abandonné, le 23 décembre, par les experts du métier, et cela juste avant les fêtes et avec une température en chute libre...
Mon gentil dépanneur L avait travaillé très dur pendant 3 heures sur mon installation, mais sans succès. En fait, il avait tout faux.
Son hypothèse était que le circuit d’aspiration fioul avait une voie d’air qui ensuite gênait le brûleur. Il s’efforçait d’étancher au maximum la ligne d’arrivée de fioul, mais sans autant pouvoir stopper l’arrivée de bulles d’air.
Le brûleur faisait un bruit que nous avons qualifié de "cavitation" de la pompe fioul. La flamme était instable et s’éteignait fréquemment.
Le dépanneur L m’a enfin conseillé de trouver un bidon et d’alimenter le brûleur directement, le bidon posé à côté. Cela marchait, nous l’avions essayé ensemble avec un bidon de 5 litres.
Mais je n’étais pas encore là :
- Comment trouver rapidement un bidon de quelques 50 litres ?
- Comment pomper le fioul de ma cuve dans ce bidon si j’en trouve un ?
Je ne trouvais pas d’alternative (location de cuve) non plus.
L parti, je me retrouvais donc devant mon brûleur qui s’arrêtait maintenant encore plus souvent, qui ne voulait finalement plus démarrer du tout.
Je suis allé chez Anconetti d’abord, puis chez le Roi Merlin, et j’ai acheté un nouveau joint pour le préfiltre.
Ensuite, j’ai (difficilement, car trop serré) dévissé le filtre, enlevé les résidus de téflon puis remplacé le joint (totalement aplati, durci et usé). Tout remonté, mon chauffage marchait aussi mal qu’avant l’intervention de L, mais il marchait un peu mieux maintenant.
Je pensais ensuite qu’il faille impérativement nettoyer la cuve, car la crépine allait tremper dans de la boue. J’ai appelé des services de nettoyage. Les gens de A.. voulaient bien venir, mais ont pas pu accéder à mon terrain car leur camion était trop grand (un monstre de 3,65 m de hauteur). Le grand manitou de la dépannage arrivant avec l’équipe a eu l’idée géniale de simplement dévisser la partie plastique en haut de la crépine d’aspiration en haut de la cuve, et regarder dedans.
C’est là que nous trouvions alors la vraie raison de nos soucis : Le passage était complètement bouché par des dépôts crasseux. Je l’ai nettoyé et trouvé que maintenant, l’aspiration se faisait sans cavitation de la pompe. Le bruit avait disparu. Mais il y avait quantité de boue et matière grasse noire qui arrivait au préfiltre. J’ai alors arrêté le brûleur tout de suite. Il fallait donc nettoyer le tube d’aspiration et la crépine, et ensuite voir si on pouvait nettoyer le fond de la cuve, pensant toujours que la crépine trompait dans la boue.
Après avoir regardé un forum sur ces dépannages, j’ai trouvé qu’on pouvait brancher les 2 tuyaux aspiration et retour cuve à l’envers, et que cela permettrait de rincer l’aspiration…
Bien que la méthode s’avérait très performante plus tard, j’ai commis quand même une erreur grave car je ne savais pas qu’il y avait, dans la tête de la crépine d’aspiration – un clapet non-retour. La pression du retour, m’a aussitôt fait éclater la tasse du préfiltre. J’avais branché le flexible retour sur la bouche aspiration en sortie du préfiltre.
Alors il fallait un petit tour chez CASTO et acheter un nouveau préfiltre, c’était vite fait.
Devenu un peu plus instruit sur la question, j’ai dévissé cette partie plastique de la crépine de nouveau et découvert qu’une valve en forme d’olive faisait office de clapet non-retour. Il était possible, en écartant très délicatement une petite patte plastique, d’enlever cette olive et de revisser la partie plastique. La voie était maintenant libre pour le rinçage. Retour sur ma chaudière, j’ai laissé le tube de retour branché à sa place sur l’ancien préfiltre. Il faisait office de bouchon pour celui-ci. J’ai utilisé la canalisation "retour" du préfiltre nouvellement acheté pour connecter le tube cuivre d’aspiration sur le flexible "retour" du brûleur. J’ai ensuite plongé le flexible d’aspiration du brûleur dans mon bidon de 5 litre de Diésel. Ensuite : Démarrage sans faille du brûleur. En quelque minutes mon bidon était vide – et le conduit d’arrivée de fioul complètement rincé.
J’ai ensuite remonté le clapet non-retour (l’olive) dans la tête d’aspiration. Les joints sont médiocres et je n’ai pas pu en trouver pour les remplacer. Je les ai alors bien graissés et ainsi obtenu une étanchéité relative suffisante.
Il me restait à résoudre mon problème d’encrassement de la cuve.
Je ne pouvais pas voir la crépine elle-même, et je n’osais pas de la démonter (risque de rompre les tubes d’aspiration et retour). J’ai alors fabriqué une raclette-grattoir pliable qui pouvait passer par l’ouverture d’inspection. J’ai passé la raclette en-dessous de la crépine (ou bien l’endroit où je la soupçonnais d’être) en espérant de faire assez de vide pour pouvoir tenir en fonctionnement jusqu’à fin janvier..
Ma surprise était ensuite très grande de voir, la raclette retirée, qu’elle était restée parfaitement propre. Pas la moindre trace de boue au fond de ma cuve !
Un deuxième grattage avait le même résultat.
Il n’y avait donc plus aucun obstacle au redémarrage du brûleur.
Celui démarrait à la troisième tentative (temps de réamorcer la ligne) et est resté en bon fonctionnement depuis sans aucune faute !
Les leçons à retenir pour dépannage après une journée de galère :
1) Quand la pompe du brûleur a du mal à aspirer, elle crée une très forte dépression dans le tube d’aspiration, la pompe qui cavite émet un bruit très aigu. Fonctionner longtemps en cavitation détruira la pompe.
2) Il est possible de mesurer la pression d’aspiration de la pompe – si on est équipé pour cela ! Equipez-vous si vous êtes dépanneur professionnel !
3) Avec un bouchon dans la ligne d'arrivée, la forte dépression dans ce tube d’aspiration est à l’origine d’ingression d’air par :
a. le joint du préfiltre
b. le joint de la tête de l’ensemble crépine ( partie plastique sur l’image)
c. le clapet de désamorçage (c’est le petit appendice avec une tige tiroir à la droite sur l'objet monté sur la cuve fioul)
4) On peut aussi avoir faussement l’impression d’une ingression d’air si des bulles de gaz apparaissent. La phase gazeuse se crée si la pression dans le tube d’aspiration est inférieur à la pression vapeur du fioul.
5) En cas de mauvaise aspiration, surtout en présence de cavitation de la pompe, il faudrait privilégier la recherche du bouchon de boue dans la voie d'aspiration de fioul avant la recherche de la voie d’air !
6) Quand les différents joints sont durcis et usés (ce qu’ils sont évidemment au bout de quelques années), il faudra être en mesure de les remplacer pendant le dépannage !
7) Une connexion conique ne nécessite pas de téflon au serrage, c’est inutile !
8) Du téflon dans le filetage du serrage du préfiltre est complètement inutile et nuisible, l’étanchéité est obtenue que par le joint torique qui appui sur la face du bord de la tasse du préfiltre.
9) Trouver et éliminer le bouchon dans la ligne d’aspiration du fioul n’était pas vraiment difficile - si on connaissait le système. Je serai bien mieux armé la prochaine fois.
10) La méthode de rinçage que j’ai utilisé marche très bien, je vous conseille de l’étudier sérieusement. Seul point délicat et difficile : Éliminer le clapet (olive) anti-retour dans l’aspiration, en haut de la cuve,car avec celui-ci en place, le rinçage ne sera pas possible. C’est délicat, car les 3 petites pattes qui tiennent l’olive et son support sont durcis avec le temps et par action du fioul sur le plastique. Si on casse une patte, on ne peut plus remettre le clapet non-retour. Il faudrait avoir un ensemble de clapet en rechange.
11) Avoir un ensemble préfiltre disponible pendant le dépannage peut s’avérer très utile (pièces de rechange filtre, tasse, joint ; facilité de connexion pour rinçage)
12) Une dernière remarque : Étudiez le fonctionnement du clapet de désamorçage ! Ce clapet permet d’arrêter le chauffage à partir de la cuve. Il ouvre tout simplement une grosse voie d’air dans l’aspiration et la désamorce ainsi. Un mauvais joint de ce clapet peut nuire sérieusement à la bonne aspiration.
Espérant que ceci aidera quelqu'un. Mannie
Mon gentil dépanneur L avait travaillé très dur pendant 3 heures sur mon installation, mais sans succès. En fait, il avait tout faux.
Son hypothèse était que le circuit d’aspiration fioul avait une voie d’air qui ensuite gênait le brûleur. Il s’efforçait d’étancher au maximum la ligne d’arrivée de fioul, mais sans autant pouvoir stopper l’arrivée de bulles d’air.
Le brûleur faisait un bruit que nous avons qualifié de "cavitation" de la pompe fioul. La flamme était instable et s’éteignait fréquemment.
Le dépanneur L m’a enfin conseillé de trouver un bidon et d’alimenter le brûleur directement, le bidon posé à côté. Cela marchait, nous l’avions essayé ensemble avec un bidon de 5 litres.
Mais je n’étais pas encore là :
- Comment trouver rapidement un bidon de quelques 50 litres ?
- Comment pomper le fioul de ma cuve dans ce bidon si j’en trouve un ?
Je ne trouvais pas d’alternative (location de cuve) non plus.
L parti, je me retrouvais donc devant mon brûleur qui s’arrêtait maintenant encore plus souvent, qui ne voulait finalement plus démarrer du tout.
Je suis allé chez Anconetti d’abord, puis chez le Roi Merlin, et j’ai acheté un nouveau joint pour le préfiltre.
Ensuite, j’ai (difficilement, car trop serré) dévissé le filtre, enlevé les résidus de téflon puis remplacé le joint (totalement aplati, durci et usé). Tout remonté, mon chauffage marchait aussi mal qu’avant l’intervention de L, mais il marchait un peu mieux maintenant.
Je pensais ensuite qu’il faille impérativement nettoyer la cuve, car la crépine allait tremper dans de la boue. J’ai appelé des services de nettoyage. Les gens de A.. voulaient bien venir, mais ont pas pu accéder à mon terrain car leur camion était trop grand (un monstre de 3,65 m de hauteur). Le grand manitou de la dépannage arrivant avec l’équipe a eu l’idée géniale de simplement dévisser la partie plastique en haut de la crépine d’aspiration en haut de la cuve, et regarder dedans.
C’est là que nous trouvions alors la vraie raison de nos soucis : Le passage était complètement bouché par des dépôts crasseux. Je l’ai nettoyé et trouvé que maintenant, l’aspiration se faisait sans cavitation de la pompe. Le bruit avait disparu. Mais il y avait quantité de boue et matière grasse noire qui arrivait au préfiltre. J’ai alors arrêté le brûleur tout de suite. Il fallait donc nettoyer le tube d’aspiration et la crépine, et ensuite voir si on pouvait nettoyer le fond de la cuve, pensant toujours que la crépine trompait dans la boue.
Après avoir regardé un forum sur ces dépannages, j’ai trouvé qu’on pouvait brancher les 2 tuyaux aspiration et retour cuve à l’envers, et que cela permettrait de rincer l’aspiration…
Bien que la méthode s’avérait très performante plus tard, j’ai commis quand même une erreur grave car je ne savais pas qu’il y avait, dans la tête de la crépine d’aspiration – un clapet non-retour. La pression du retour, m’a aussitôt fait éclater la tasse du préfiltre. J’avais branché le flexible retour sur la bouche aspiration en sortie du préfiltre.
Alors il fallait un petit tour chez CASTO et acheter un nouveau préfiltre, c’était vite fait.
Devenu un peu plus instruit sur la question, j’ai dévissé cette partie plastique de la crépine de nouveau et découvert qu’une valve en forme d’olive faisait office de clapet non-retour. Il était possible, en écartant très délicatement une petite patte plastique, d’enlever cette olive et de revisser la partie plastique. La voie était maintenant libre pour le rinçage. Retour sur ma chaudière, j’ai laissé le tube de retour branché à sa place sur l’ancien préfiltre. Il faisait office de bouchon pour celui-ci. J’ai utilisé la canalisation "retour" du préfiltre nouvellement acheté pour connecter le tube cuivre d’aspiration sur le flexible "retour" du brûleur. J’ai ensuite plongé le flexible d’aspiration du brûleur dans mon bidon de 5 litre de Diésel. Ensuite : Démarrage sans faille du brûleur. En quelque minutes mon bidon était vide – et le conduit d’arrivée de fioul complètement rincé.
J’ai ensuite remonté le clapet non-retour (l’olive) dans la tête d’aspiration. Les joints sont médiocres et je n’ai pas pu en trouver pour les remplacer. Je les ai alors bien graissés et ainsi obtenu une étanchéité relative suffisante.
Il me restait à résoudre mon problème d’encrassement de la cuve.
Je ne pouvais pas voir la crépine elle-même, et je n’osais pas de la démonter (risque de rompre les tubes d’aspiration et retour). J’ai alors fabriqué une raclette-grattoir pliable qui pouvait passer par l’ouverture d’inspection. J’ai passé la raclette en-dessous de la crépine (ou bien l’endroit où je la soupçonnais d’être) en espérant de faire assez de vide pour pouvoir tenir en fonctionnement jusqu’à fin janvier..
Ma surprise était ensuite très grande de voir, la raclette retirée, qu’elle était restée parfaitement propre. Pas la moindre trace de boue au fond de ma cuve !
Un deuxième grattage avait le même résultat.
Il n’y avait donc plus aucun obstacle au redémarrage du brûleur.
Celui démarrait à la troisième tentative (temps de réamorcer la ligne) et est resté en bon fonctionnement depuis sans aucune faute !
Les leçons à retenir pour dépannage après une journée de galère :
1) Quand la pompe du brûleur a du mal à aspirer, elle crée une très forte dépression dans le tube d’aspiration, la pompe qui cavite émet un bruit très aigu. Fonctionner longtemps en cavitation détruira la pompe.
2) Il est possible de mesurer la pression d’aspiration de la pompe – si on est équipé pour cela ! Equipez-vous si vous êtes dépanneur professionnel !
3) Avec un bouchon dans la ligne d'arrivée, la forte dépression dans ce tube d’aspiration est à l’origine d’ingression d’air par :
a. le joint du préfiltre
b. le joint de la tête de l’ensemble crépine ( partie plastique sur l’image)
c. le clapet de désamorçage (c’est le petit appendice avec une tige tiroir à la droite sur l'objet monté sur la cuve fioul)
4) On peut aussi avoir faussement l’impression d’une ingression d’air si des bulles de gaz apparaissent. La phase gazeuse se crée si la pression dans le tube d’aspiration est inférieur à la pression vapeur du fioul.
5) En cas de mauvaise aspiration, surtout en présence de cavitation de la pompe, il faudrait privilégier la recherche du bouchon de boue dans la voie d'aspiration de fioul avant la recherche de la voie d’air !
6) Quand les différents joints sont durcis et usés (ce qu’ils sont évidemment au bout de quelques années), il faudra être en mesure de les remplacer pendant le dépannage !
7) Une connexion conique ne nécessite pas de téflon au serrage, c’est inutile !
8) Du téflon dans le filetage du serrage du préfiltre est complètement inutile et nuisible, l’étanchéité est obtenue que par le joint torique qui appui sur la face du bord de la tasse du préfiltre.
9) Trouver et éliminer le bouchon dans la ligne d’aspiration du fioul n’était pas vraiment difficile - si on connaissait le système. Je serai bien mieux armé la prochaine fois.
10) La méthode de rinçage que j’ai utilisé marche très bien, je vous conseille de l’étudier sérieusement. Seul point délicat et difficile : Éliminer le clapet (olive) anti-retour dans l’aspiration, en haut de la cuve,car avec celui-ci en place, le rinçage ne sera pas possible. C’est délicat, car les 3 petites pattes qui tiennent l’olive et son support sont durcis avec le temps et par action du fioul sur le plastique. Si on casse une patte, on ne peut plus remettre le clapet non-retour. Il faudrait avoir un ensemble de clapet en rechange.
11) Avoir un ensemble préfiltre disponible pendant le dépannage peut s’avérer très utile (pièces de rechange filtre, tasse, joint ; facilité de connexion pour rinçage)
12) Une dernière remarque : Étudiez le fonctionnement du clapet de désamorçage ! Ce clapet permet d’arrêter le chauffage à partir de la cuve. Il ouvre tout simplement une grosse voie d’air dans l’aspiration et la désamorce ainsi. Un mauvais joint de ce clapet peut nuire sérieusement à la bonne aspiration.
Espérant que ceci aidera quelqu'un. Mannie
02 décembre 2017 à 17:58