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Membre inscrit Reidid44 sur le forum Chauffage

a posté 1 message sur le forum Chauffage :
Bonjour,
Je réfléchis sur le remplacement d'une chaudière dans une école.
La définition de la puissance nécessaire, sans tenir compte de ce qui est installé actuellement (Sur-dimensionnements fréquents sur les vieilles installations...) est préconisé sur la base d'un bilan énergétique pour permettre d'assurer le chauffage à 18°C par une température extérieure de -5°C - OK -
Les 6 bâtiments existants font 1700 m² chauffés... Le bilan déperditions est lourd...
S'il fait -5°C dehors, et que je mets en marche la chaudière en partant de la température minimum de nuit, je relève le compteur à la mise en marche, puis toutes les 15 minutes jusqu'à obtention de la température requise de 18°C, de manière homogène sur l'ensemble des bâtiments, j'ai bien relevé la puissance nécessaire à la chauffe des bâtiments aux conditions de référence (en conditions de relance, en plus...).
Et si j'observe sur quelques heures la consommation de gaz lorsqu'il fait -5°C, j'ai la puissance nécessaire à la stabilisation.
Je pense que ce système apporte des informations réelles, à contrario du bilan déperdition qui n'est que théorique.
Où se situe la faille ?
Pourquoi ce système n'est-il pas employé ?
Merci d'avance de vos réflexions sur le sujet !
Cordialement.
Didier
Je réfléchis sur le remplacement d'une chaudière dans une école.
La définition de la puissance nécessaire, sans tenir compte de ce qui est installé actuellement (Sur-dimensionnements fréquents sur les vieilles installations...) est préconisé sur la base d'un bilan énergétique pour permettre d'assurer le chauffage à 18°C par une température extérieure de -5°C - OK -
Les 6 bâtiments existants font 1700 m² chauffés... Le bilan déperditions est lourd...
S'il fait -5°C dehors, et que je mets en marche la chaudière en partant de la température minimum de nuit, je relève le compteur à la mise en marche, puis toutes les 15 minutes jusqu'à obtention de la température requise de 18°C, de manière homogène sur l'ensemble des bâtiments, j'ai bien relevé la puissance nécessaire à la chauffe des bâtiments aux conditions de référence (en conditions de relance, en plus...).
Et si j'observe sur quelques heures la consommation de gaz lorsqu'il fait -5°C, j'ai la puissance nécessaire à la stabilisation.
Je pense que ce système apporte des informations réelles, à contrario du bilan déperdition qui n'est que théorique.
Où se situe la faille ?
Pourquoi ce système n'est-il pas employé ?
Merci d'avance de vos réflexions sur le sujet !
Cordialement.
Didier
24 janvier 2013 à 22:42
