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Membre inscrit Reidid44
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a posté 3 messages sur les forums BricoVidéo :
Bonsoir.
Le disjoncteur saute chaque fois ? Je comprends que vous ne réussissiez pas à l'enclencher !
C'est un disjoncteur différentiel ?
Test des câbles ? Avec un multimètre ou avec un tournevis testeur ?
Et si les fils sont débranchés directement sous le disjoncteur, ça saute toujours ?
Besoin de plus de précisions pour y voir clair.
Le disjoncteur saute chaque fois ? Je comprends que vous ne réussissiez pas à l'enclencher !
C'est un disjoncteur différentiel ?
Test des câbles ? Avec un multimètre ou avec un tournevis testeur ?
Et si les fils sont débranchés directement sous le disjoncteur, ça saute toujours ?
Besoin de plus de précisions pour y voir clair.
24 janvier 2013 à 23:24

Bonjour.
Ci-joint schéma de principe d'un va et vient.
La phase est normalement rouge. Si l'installateur était un puriste, il aura distingué la phase sur l'arrivée du 1er interrupteur, les 2 navettes dans une 2ème couleur (marron par exemple), puis l'amenée de la phase en sortie du 2ème inter jusqu'à la lampe dans une 3ème couleur, noire dans l'exemple. Mais ne rêvons pas, dans la pratique, la phase est amenée rouge de bout en bout donc il faut tester avec un appareil de mesure.
Pour rajouter 2 appliques, voir le schéma, il faut une petite boite de dérivation pour faire le travail proprement avec 6 fils, et des dominos.
Si vous voulez supprimer le plafonnier, il suffit de l'enlever du schéma.
Attention toutefois à vérifier que le circuit d'éclairage qui alimente ce plafonnier ne soit pas trop chargé : il y a un nombre maximum de point d'éclairage à mettre sur une seule protection (8 de mémoire, mais à vérifier).
Va et vient.pdf
Ci-joint schéma de principe d'un va et vient.
La phase est normalement rouge. Si l'installateur était un puriste, il aura distingué la phase sur l'arrivée du 1er interrupteur, les 2 navettes dans une 2ème couleur (marron par exemple), puis l'amenée de la phase en sortie du 2ème inter jusqu'à la lampe dans une 3ème couleur, noire dans l'exemple. Mais ne rêvons pas, dans la pratique, la phase est amenée rouge de bout en bout donc il faut tester avec un appareil de mesure.
Pour rajouter 2 appliques, voir le schéma, il faut une petite boite de dérivation pour faire le travail proprement avec 6 fils, et des dominos.
Si vous voulez supprimer le plafonnier, il suffit de l'enlever du schéma.
Attention toutefois à vérifier que le circuit d'éclairage qui alimente ce plafonnier ne soit pas trop chargé : il y a un nombre maximum de point d'éclairage à mettre sur une seule protection (8 de mémoire, mais à vérifier).
Va et vient.pdf
24 janvier 2013 à 23:12
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Bonjour,
Je réfléchis sur le remplacement d'une chaudière dans une école.
La définition de la puissance nécessaire, sans tenir compte de ce qui est installé actuellement (Sur-dimensionnements fréquents sur les vieilles installations...) est préconisé sur la base d'un bilan énergétique pour permettre d'assurer le chauffage à 18°C par une température extérieure de -5°C - OK -
Les 6 bâtiments existants font 1700 m² chauffés... Le bilan déperditions est lourd...
S'il fait -5°C dehors, et que je mets en marche la chaudière en partant de la température minimum de nuit, je relève le compteur à la mise en marche, puis toutes les 15 minutes jusqu'à obtention de la température requise de 18°C, de manière homogène sur l'ensemble des bâtiments, j'ai bien relevé la puissance nécessaire à la chauffe des bâtiments aux conditions de référence (en conditions de relance, en plus...).
Et si j'observe sur quelques heures la consommation de gaz lorsqu'il fait -5°C, j'ai la puissance nécessaire à la stabilisation.
Je pense que ce système apporte des informations réelles, à contrario du bilan déperdition qui n'est que théorique.
Où se situe la faille ?
Pourquoi ce système n'est-il pas employé ?
Merci d'avance de vos réflexions sur le sujet !
Cordialement.
Didier
Je réfléchis sur le remplacement d'une chaudière dans une école.
La définition de la puissance nécessaire, sans tenir compte de ce qui est installé actuellement (Sur-dimensionnements fréquents sur les vieilles installations...) est préconisé sur la base d'un bilan énergétique pour permettre d'assurer le chauffage à 18°C par une température extérieure de -5°C - OK -
Les 6 bâtiments existants font 1700 m² chauffés... Le bilan déperditions est lourd...
S'il fait -5°C dehors, et que je mets en marche la chaudière en partant de la température minimum de nuit, je relève le compteur à la mise en marche, puis toutes les 15 minutes jusqu'à obtention de la température requise de 18°C, de manière homogène sur l'ensemble des bâtiments, j'ai bien relevé la puissance nécessaire à la chauffe des bâtiments aux conditions de référence (en conditions de relance, en plus...).
Et si j'observe sur quelques heures la consommation de gaz lorsqu'il fait -5°C, j'ai la puissance nécessaire à la stabilisation.
Je pense que ce système apporte des informations réelles, à contrario du bilan déperdition qui n'est que théorique.
Où se situe la faille ?
Pourquoi ce système n'est-il pas employé ?
Merci d'avance de vos réflexions sur le sujet !
Cordialement.
Didier
24 janvier 2013 à 22:42
