J'ai lu effectivement qu'il suffisait de faire des courbes généreuses pour la dilatation.

Mon choix est le suivant, après avoir traversé la dalle :
- rejoindre le sol du vide sanitaire, sans gêner la circulation humaine, et maintenir les tubes à niveau (le sol en terre n'étant pas plat). Pas gagné.
- avec un coude soutenu, rester sur le haut du vide sanitaire en arrimant les tubes aux cloisons. Comme on le voit sur le plan, j'ai du monde à passer au centre.

Bien sûr je vais acheter du PER gaîné ET isolé, afin d'éviter trop de déperdition ; bien que le vide soit tempéré, je suppose qu'en cas de grands froids ça puisse geler dessous.

Merci pour vos remarques.

OK pour le ø16 d'autant que le tarif (en isolé) n'est pas nettement plus cher que le 12 ; pour l'instant le meilleur prix est chez anjou-connectique point com. Si vous avez de meilleurs fournisseurs...

Vous écrivez : "Il est impératif que le PER ne puisse jamais former un dos d'âne".
Dans la mesure où il semble peu aisé de conserver un trajet de PER parfaitement rectiligne, quel est - en gros - l'angle du coude considéré comme un "dos d'âne" ?
Aussi, dois-je descendre au sol du vide sanitaire pour remonter vers les radiateurs ou dois-je créer des rails au plafond pour guider les PER vers les radiateurs ?

Quant à la dilatation, j'ai lu parfois qu'il fallait ajouter des "boucles de dilatation". Qu'en est-il ?

Bonjour !

Après la découverte inopinée d'un vide sanitaire sous un appartement, que je partage en indivision avec mon frère et que nous louons, l'horizon s'éclaire !
En effet, datant de 1978, le chauffage est actuellement une cata : conception monotube, toutes les vannes de radiateurs sont à changer (et à ré-équilibrer) et je soupçonne une réduction du cuivre enfoui sous la chape (embouage).
Bricoleur averti j'étais jusque là féru de menuiserie et d'électricité. Puis j'ai découvert le PER, ce qui m'a permis en 2015 de créer une salle de bain intégralement (carrelage y compris) l'an dernier, avec succès (nonobstant la pente trop faible de l'évac').

L'idée de refaire le chauffage en bi-tube cet été est donc née. Ayant parcouru quelques sites et forums, j'en suis arrivé à une alternative que je vous soumets. Voir le plan de l'appartement ci-joint.

En violet la chaudière, d'où va partir au sol les nourrices, en vert les 8 radiateurs (de 500 à 1500W max).
Vu de dessous, en jaune, les cloisons du vide sanitaires (grosso modo) et en rouge les trois zones du vide : de 1 à 3, de confortable (accroupi tête relevée) à moins confortable (disons travail allongé les bras droits).

Première solution : la pieuvre intégrale où je lance 8 paires de PER ø12 vers les radiateurs.
Seconde : la pieuvre génétiquement modifiée. Je lance 4 paires de PER ø16 pour bifurquer - via des coudes réduits 16/12/12 - vers 4 paires de PER ø12.
La première a l'avantage de n'avoir aucun raccord en dessous. La seconde... je ne sais pas.
La distance max entre la nourrice et le radiateur le plus éloigné (chambre 4) doit avoisiner les 10 mètres.

Merci d'apporter vos lumières et remarques.

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